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Toulouse, 404. Sa lettre diffamatoire contre Montluc, 434. (Comm. de Montluc.) — Il se distingue dans un combat livré aux Impériaux près de Casal, XXIX, 463 ; et dans un autre livré à la garnison de Pondesture, qui est presque toute défaite, 554. Va faire une reconnoissance vers Sartirane, XXX, 90. Bat les ennemis et les met en déroute, 91. Reçoit le commandement de Casal, Valence et Moncalier, 93. (Du Villars.) — Fait une entrée solennelle à Montpellier, XXXIV, 264. Y fait désarmer tout le monde ; reçoit de riches présens ; tient les États à Narbonne, 265. Poursuit l’armée des princes, et la met en déroute à Baïs-sur-Baïs, 377. Permet aux religionnaires de rentrer dans Montpellier, mais leur interdit le prêche, 378. Prend Calvisson par composition, Montpezat d’assaut ; force Sommières à capituler ; s’empare de Quissac, 379. Accorde une trève à Nismes ; fait publier l’édit de paix donné par le Roi au château de Boulogne, 380. Proroge la trève accordée à Nismes, 381. Assiége Pommerols, qui se rend par composition ; se retire dans le palais de Montpellier et s’y fortifie, 382. Se rend à Turin pour aller au devant du roi Henri III, 383. Fait alliance avec les protestans, et leur promet l’exercice public de leur religion ; est reconnu pour leur chef dans l’assemblée tenue à Nismes ; surprend Aigues-Mortes, 384. Prend d’assaut Galargues ; surprend Alais ; nomme les consuls de Montpellier, dont un protestant et l’autre catholique, le troisième marchand, 385. Tombe malade ; surprend la ville d’Aimargues ; se rend maître d’Uzès et de Maguelonne, 386. Prend Loupian d’assaut ; soumet plusieurs lieux aux environs de Béziers ; assiste à Montpellier à une procession générale faite pour remercier Dieu de la paix ; reçoit la visite du vicomte de Joyeuse et de plusieurs seigneurs catholiques, 387. Refuse de quitter son gouvernement ; embarras où il se trouve, 388. Il va assiéger Montpellier, 390. Accompagne la Reine mère aux États de Castelnaudary ; se rend à Mazères auprès du roi de Navarre, 391. Inutilité de cette conférence ; il assiége Villemagne, où il perd beaucoup de monde, 392. Tient une assemblée à Pésenas ; résolutions qui y sont prises ; fait assiéger Minerve, qui capitule à la fin, 393. Se brouille avec Joyeuse ; assiége Clermont ; surprend Corsan-sur-Aude ; va trouver le roi de Navarre à Castres ; s’unit avec les protestans, 395. Tient les États à Pésenas ; refuse de revenir au service du Roi ; fait faire le procès au seign. de Villes-Passans, qui a voulu révolter Pésenas contre lui, et le fait étrangler, 396. (Mém. de Philippi.) — Va à Turin saluer Henri III ; averti qu’on veut le perdre à son retour, il revient dans son gouvernement, XXXV, 120. Envoie au vicomte de Turenne les articles de l’Union à signer, 121. Refuse de parler aux États au nom des catholiques unis, alléguant que par la paix qui vient de se faire il doit se séparer de l’Union ; ses vrais motifs, 156. (Mém. de Bouillon.) — Défait les troupes de la Ligue à Lodève et à S.-Pons, XXXVIII, 301. Est nommé connétable, et envoyé dans le Lyonnais pour arrêter les progrès du duc de Nemours, XLIII, 32. Surprend la ville de Montluel, 33. Décide le commandant de Vienne à se soumettre au Roi, 34. Entre dans cette ville, 35. (Mém. de Cayet.) — Prête au parlement serment en qualité de connétable, XLVII, 148. Grande fête donnée à l’occasion du baptême de son fils, que le Roi tient sur les fonts, 192. (L’Estoile.) — Propose à l’assemblée des notables de Rouen la démolition des places fortes de l’intérieur et la suppression des garnisons ; délibération à ce sujet, XLIX, 339. (Mém. de Groulard.) — Sa mort ; combien il fut considéré du roi Henri-le-Grand, L, 240. (Fontenay-Mareuil.)

Montmorency (Matthieu de),