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Beaujeu (le capitaine), de la Franche-Comté, et commandant pour l’Empereur dans Thionville, parvient à se rendre maître du château d’Enery, XXXI, 391.

Beaujeu (le sieur de) est tué au siége de Montbar, XXXV, 372.

Beaulac (le capitaine) est blessé et fait prisonnier lors de la retraite des Espagnols au siége de S.-Damian, XXIX, 242.

Beaulieu (le capitaine) rend à Henri IV le château de Vincennes par composition, XLII, 209.

Beaulne (Jacques de), seigneur de Semblançay, gouverneur de Touraine, est pendu au gibet de Montfaucon pour larcins et malversations ; vers faits à son occasion, XLV, 49.

Beaumanoir (le maréchal de), un des assistans de Duguesclin au combat en champ clos livré près de Pontorson, IV, 209. Se rend prisonnier à Chandos à la bataille d’Auray, 301. Défait avec Clisson 1100 Anglais prêts à s’embarquer, V, 109.

Beaumanoir (le seigneur de), à la tête de l’avant-garde de l’armée royale, attaque les Anglais dans la plaine de Patay ; est secondé par La Hire, Ambroise de Lore et Thiébaut de Thermes, VIII, 188.

Beaume (le sieur de La) dresse une embuscade à don Sancho de Salines, commandant la cavalerie légère du duc de Savoie, et le défait, XLIII, 349.

Beaumont (Alain de), brûlant de venger la mort de son frère, se joint à Duguesclin, IV, 274. Se rend à Caen auprès du connétable, V, 72. Se distingue à la bataille de Pontvallain, 86, et au siége de Bressière, 106.

Beaumont (Geoffroy de) prend la croix, I, 104. Se rend en Syrie avec Regnaud de Montmirail, 164.

Beaumont (Jacquemin de) défend vaillamment le château de Villy contre les capitaines du duc de Bourgogne, IX, 371. Comment il s’échappe de ce château pour aller au secours du damoiseau de Commercy, 384. Dresse une embuscade près de la ville d’Yvis, fait prisonniers les deux écuyers Rochebaron et Estore Du Soret, 385.

Beaumont (Jean de) défend de la part du Roi à Joinville de sortir de son quartier, II, 223.

Beaumont (Louis de), d’une ancienne famille du Poitou, chancelier de l’Église de Paris, est nommé par Louis XI à l’évêché de cette ville, XIII, 430.

Beaumont (Thom., sire de), lieutenant du roi d’Angleterre, est fait prisonnier devant S.-Denis,VIII, 484.

Beaumont (le vicomte de). Avis qu’il ouvre au conseil tenu à Rouen par Duguesclin, IV, 254. Se distingue à la bataille de Cocherel, 268. Y est tué par le baron de Mareuil, 269.

Beaumont (Jean de) assiste au siége de la forteresse de Sorie, V, 57. Monte avec lui à l’assaut d’une abbaye, 65. Se rend à Caen auprès du connétable Duguesclin, 72. Se distingue à la bataille de Pontvallain, 86. Au siége de Bressière, 106. Taille en pièces la garnison de Cisay dans une sortie qu’elle fait, 131. Est chargé du commandement de Niort par Duguesclin, 135.

Beaumont, se disant gentilhomme, condamné pour crime de magie par les juges d’Angoulême, est interrogé à Chinon ; détails sur son interrogatoire, XXXVII, 512. Est condamné à mort au parlem. de Paris, 515.

Beaune (Renaud de), archevêque de Bourges, retient dans le devoir la majorité des catholiques royalistes, XX, 237. Est nommé par le Roi pour entrer en conférence avec les ligueurs ; quelle est l’issue de cette conférence, 265. (Introd.) — Est petit-fils de J. de Beaune de Semblancay, condamné sous François I. Sa mémoire, son jugement, ses autres qualités, XXXVII, 354. Son besoin de manger, 355. Comment il est employé dans les grandes affaires, 356. Son intime amitié avec de Thou, 357. Son discours aux États de Blois contre le luxe, 398. (Mém. de de Thou.) — Son discours aux