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Son corps est transporté dans le Dauphiné ; deuil général que sa mort y cause, 131. Est enterré au couvent des Minimes de Grenoble, 132. Ses vertus, son humanité, sa libéralité, 133. Sa modestie, 136. Est chargé de la défense de Mézières ; noms des capitaines qui sont avec lui dans cette place, XVII, 310. Réponse qu’il fait à la sommation du comte de Nassau ; description de la situation de cette ville, 311. S’empare de Lodi, 428. Assiége Crémone avec le seigneur Rence de Cere et le seigneur de Lorges, 429. Est obligé de se retirer vers Milan, 430. Est blessé à mort près de la Sesia, 450. Paroles qu’il adresse au connétable de Bourbon avant de mourir, 451. (Mém. de Du Bellay.)

Bayencourt (le sieur de) est tué à la prise de Ham en Picardie par les troupes du Roi, XLIII, 49.

Bazillac (le seigneur de) a le bras droit emporté d’un coup de canon devant Ravennes, XVI, 31.

Bazin (Jean) accompagne l’évêque de Valence en Pologne, XXXVIII, 51. Est envoyé par lui aux noces de la fille du palatin de Wratislavie, où il trouve les esprits peu disposés pour le duc d’Anjou, à cause de la journée de la S.-Barthélémy, 92. Est envoyé dans la petite Pologne, où il travaille avec zèle et adresse à faire des partisans au duc d’Anjou, 106.

Bazordan (le capitaine) est tué au siége de Montauban entrepris par le seigneur de Terride, XXII, 153.

Béarn (Roger, baron de), tente une entreprise contre l’armée italienne qui est devant Ravennes, XVI, 29 ; est repoussé, 32.

Bearne (Bernard de), bâtard de Foix, dispute à Bruges une entreprise d’armes contre le seigneur de Haubourdin, XVI, 464. Est blessé par son adversaire, 468.

Béatrix, fille cadette de Raymond Bérenger, comte de Provence, épouse Charles, frère de Louis IX, II, 88. Détermine son mari à souscrire aux conditions auxquelles le royaume de Naples lui est offert ; vend ses bijoux pour subvenir aux frais de la guerre, 138.

Beauchamp, seigneur anglais, commandant la ville de Basas en Guyenne, envoie défier Louis Juvénal des Ursins, VIII, 91.

Beauchamp (le seigneur de) commande l’aile droite à la bataille de Gavre, X, 144 ; charge vivement les Gantois, 146.

Beaufort (la duchesse de). Voy. l’art. Estrées (Gabrielle d’).

Beaufort (le seigneur de) défend Arras contre les troupes du Roi, VII, 264. (Mém. de Fenin.) — Défait les Anglais devant le Mont-Saint-Michel, et les force à lever le siége de cette place, VIII, 99. (Mém. concern. la Puc. d’Orl.)

Beauffort (le seigneur de), condamné comme vaudois, est enlevé de sa prison et conduit à Paris par ordre du parlement, XI, 90. Est élargi, 93.

Beaufremont (Guillaume de), seigneur de Sey, défend un pas d’armes près de Dijon contre un chevalier piémontais, IX, 346.

Beaujeu (Humbert de), connétable de France, vient annoncer à l’armée des croisés qu’un Bédouin propose, moyennant 500 besans d’or, de montrer un gué où l’on peut passer aisément à cheval le Thanis, II, 239. Vient dire au roi le danger où se trouve le comte d’Artois à la Massoure, 246. Amène à Joinville les arbalétriers du Roi pour défendre le petit pont que celui-ci garde, 251. Est mis sur une galère avec d’autres seigneurs prisonniers pour être conduit à Damiette, 292.

Beaujeu (Pierre II de Bourbon, comte de), vient au secours de son frère le duc de Bourbon, XI, 351. (Mém. de Comines). — Est pris par trahison dans Lectoure, et remis au comte d’Armagnac, XIII, 428. Se rend avec madame de Beaujeu en Picardie pour recevoir Marguerite d’Autriche, XIV, 113. (J. de Troyes).

Beaujeu (le sire de) se distingue au siége de Maguelon, IV, 339.