Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/437

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

lement des moulins d’Auriole, que les seigneurs Christophe Goast (ou Guasco) et de Fonterailles ont refusé d’entreprendre, 387. Détails sur cette exécution, 389. Se retire sain et sauf avec sa troupe après avoir brûlé le moulin d’Auriole, 398. Il retourne chez lui, 402. Revient à Marseille pour aller en Piémont ; à la nouvelle du siége de Térouane, se rend à Paris ; y reçoit le commandement d’une compagnie de gens de pied ; fait partie de la garde du Dauphin ; retourne en Provence, où lui vient une commission de dresser deux enseignes et d’aller en Piémont, 403. Est chargé par le Roi d’aller mettre le siége devant Barcelonette, et de s’emparer de toutes les villes des environs, 404. S’empare du château et de la ville de Mieulan, 405. Est légèrement blessé au siége de Barcelonette ; retourne en Provence avec ses deux compagnies, 406. Éloge que fait Montluc du connétable de Montmorency, dont il eut cependant à se plaindre, 407. Il va au siége de Perpignan, désirant voir l’ingénieur italien Jérôme Marin ; découvre les fautes de cet ingénieur ; donne inutilement de bons conseils au maréchal d’Annebaut sur la force de la place, 408. Comment il l’avoit auparavant reconnue, étant déguisé en cuisinier, 409. Reçoit du Roi le commandement d’une compagnie, 411. Bat et repousse les Espagnols devant le château de Tuchan ; détails sur cette affaire, 413. Assiste au siége de Coni, 435. Est envoyé en garnison à Savillan, 436. Part pour aller au secours de Mondovi, 437. Est rencontré par un parti ennemi ; comment il le défait et retourne à Savillan, 438. Est appelé par M. de Termes à Bène ; s’y rend, 441. M. et mad. de Termes viennent au devant de lui, 442. Retourne à Savillan qui est menacé d’un siége, et où M. de Termes s’est rendu en diligence, 443. Envoie chercher le capitaine Favas, 445. Se porte sur Cavilimor ; noms des capitaines qui l’accompagnent, 446. Pourquoi il manque de surprendre M. de Savoie, 447. Rencontre d’un convoi ennemi, 448. Se prépare à l’attaquer, 449. Harangue sa troupe, 450. Attaque l’escorte, la met en fuite, et se rend maître du convoi, 452. Reçoit 600 écus pour sa part du butin, 454. Défait un parti espagnol devant Marennes ; détails sur cette affaire, 476. Noms des capitaines qui y prennent part, 482 et 483. Se rend maître d’un des palais de Costilholle, 486. Contre l’avis de ses compagnons d’armes, prend un chemin qui le conduit en sûreté à Pignerol, 488. Conseils de l’auteur à cette occasion, 490. Ses regrets sur ce que l’armée ne poursuivit pas César de Naples dans sa retraite de Carmagnole, 492. Comment il protége la rupture du pont de cette ville, et y contribue lui-même ; détails sur l’exécution de cette entreprise, 494. Suit l’armée, qui assiége inutilement Ivrée, et s’empare de S.-Martin et autres places, 505. Est envoyé en France par le comte d’Enghien pour demander au Roi des secours et la permission de livrer bataille, XXI, 1. Est nommé gentilhomme servant ; assiste à un conseil du Roi, 2. Noms des personnes qui y sont présentes, 3. Raisons du Roi pour ne pas consentir à ce qu’on livre bataille en Piémont, 4. Opinion de Montluc dans le conseil, 5. Obtient la permission de combattre, 10. Retourne en Piémont avec plusieurs seigneurs qui vont combattre ; leurs noms, 14. Reçoit ordre de tout préparer pour le combat, 16. Son dépit de ce que le combat n’a pas lieu ; comment il l’exprime au comte d’Enghien, 19. Est chargé de la conduite de l’arquebuserie, 21. Noms des lieutenans qu’il prend avec lui, 22. Commence le combat avec un succès partagé, 23. Détails sur la suite de la bataille, 24. Montluc harangue ses compagnons d’armes, 27. Contribue au gain de la bataille, 33. Anecdote d’un de ses serviteurs au-