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XLIII, 327. S’empare du château de Tournhout, 330. Manque une entreprise sur Venloo, 336. Se rend maître d’Alpen par composition, 375. Investit Rhinberg, y entre par capitulation, 376. Fait démolir le fort Camille ; assiége Mœurs, 377, qu’il prend par composition ; investit Grolle, 378, qui se rend à des conditions honorables, 380. Prend et pille la ville de Brefort, 381. Reçoit le château à discrétion, ainsi que la ville d’Anschède ; accorde une capitulation à celle d’Oldenzeel et d’Otmarson, 382. Entre dans la ville et fort de Goor ; entreprend le siége de Linghen, 383, qui se rend après quelques assauts, 384. Fait repasser le Rhin aux Espagnols, 385. Conserve ses conquêtes contre l’admirant[sic] d’Arragon, 385. (Mém. de Cayet.) — Assiége en vain Bois-le-Duc, XLVII, 408. (L’Estoile.) — Assiége Juliers, L, 121. La force à capituler ; apprend aux vieux capitaines français des choses qu’ils ne savent pas, 122. (Fontenay-Mareuil.)

Maussart Du Bos, chevalier de Picardie, défie le duc de Bourgogne, VII, 248. Est pris par les Anglais ; a la tête tranchée par ordre du duc, 251.

Mauvoisin (Robert de) prend la croix, I, 102. Se rend auprès du roi de Hongrie avec Simon de Montfort, 170.

Maximilien I, archiduc d’Autriche, vient à Gand, où il épouse la duchesse de Bourgogne Marie, fille de Charles-le-Téméraire, IX, 210. Relève l’ordre de la Toison d’or, dont il est fait chevalier ; marche contre le roi de France, 211. Prend Bossut, Sores, Trelon et autres places ; marche contre la ville d’Arras ; fait une trève d’un an, 212. Devient maître de Cambray, 213. Assiége Térouane, bat les Français, 214. Remet le pays de Gueldres sous son obéissance, reprend un grand nombre de places en Flandre ; est maîtrisé par les États de ce pays, 215. Marie sa sœur au Dauphin ; voit son autorité diminuée après la mort de sa femme, 216. Soutient David, bâtard de Bourgogne, évêque d’Utrecht ; assiége cette ville, la reçoit à composition, 217. Gagne la ville de Tenremonde ; marche contre Bruxelles, 218. Prend Oudenarde ; se retire en Brabant, 219. Revient à Oudenarde ; essaie inutilement de livrer bataille au comte de Romont et au seigneur des Cordes, 220. Pille le pays de Waz ; prend la ville de Grammont, 222. Entre dans celle de Gand, où le seigneur de Ravastain lui remet Philippe-le-Beau son fils, retenu par les rebelles, 224. Fait justice de ceux qui avoient mis le peuple en mouvement, 226. Refuse les offres des habitans de Liége révoltés contre leur évêque ; est élu roi des Romains, 227. Ses armoiries, 228. (Introd.) — Vient à Gand, où il est reçu avec de grands honneurs, X, 423. Est marié à Marie de Bourgogne, 424. Fait une trève avec Louis XI, 425. Relève l’ordre de la Toison d’or, 426. Cérémonie observée en cette occasion, 427. Reprend sur Louis XI tout ce que ce roi lui avoit enlevé, 428. Conclut avec lui une trève de dix mois, 429. La renouvelle quelque temps après l’expiration, 431. Envoie complimenter le nouveau roi de France Charles VIII, 436. Moyen dont il se sert pour se rendre maître de Tenremonde, 438 ; et du château d’Oudenarde, 440. Entre dans la ville, 441. Marche sur Gand pour l’assiéger ; comment son entreprise échoue, 442. Fait la guerre aux Flamands par terre et par mer, 443. Appelé par ceux de Bruges, est reçu dans cette ville avec une grande joie, 445. Fait décapiter Piccanet et ses complices, 446. Entre dans la ville de Gand ; détails sur cette entrée ; revoit son fils, 447 ; l’envoie à Tenremonde ; fait justice de quelques rebelles et pardonne à la ville, 451. Est élu roi des Romains, 452. Est tenu prisonnier à Bruges, 455. Conditions auxquelles il est délivré, 457. Récapitulation de ses exploits, 466.