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202. S’en rend maître, 204. Meurt à table, XLVII, 208. (L’Estoile.)

Matis Paiart, grand doyen de Gand, fait rentrer cette ville sous l’obéissance de l’archiduc Maximilien, X, 446. Est envoyé vers ce prince, 447. Les Gantois, révoltés de nouveau, lui coupent la tête, 454.

Maucler (Pierre), comte de Bretagne : d’où lui vient son nom, II, 22. Son caractère ; s’oppose au gouvernement de Blanche de Castille, 23. Refuse d’assister au couronnement de Louis IX, 29. Se lie intimement avec Richard, frère du roi d’Angleterre, 43. Est vaincu à Bellesmes par la Régente et le jeune Roi, 44. Reconnoît le roi d’Angleterre pour son seigneur, 45. Est déclaré déchu de son fief et de la tutèle de ses enfans, 46. Le roi d’Angleterre le fait comprendre dans la trève de 3 ans qu’il conclut avec la Régente, 47. Maucler se met à la tête des mécontens, 53. Prend les armes et obtient quelques avantages ; passe ensuite en Angleterre, et n’ayant pu obtenir de secours, revient se jeter aux pieds du Roi qui lui pardonne, 54. Abandonne tout-à-coup ses projets ambitieux ; cède son fief à son fils ; prend le nom de chevalier de Braine, et se rend ensuite auprès du Pape pour être son principal conseiller, 59. Accompagne Louis IX en Égypte, 98. Meurt en revenant en France, après avoir rendu les plus grands services au Roi, 113. (Tabl. du règ. de S.Louis.) — Voyant le Roi secouru par le comte de Champagne, se soumet et demande grâce, 192. Conseille de marcher sur Alexandrie, 227. Est blessé à la Massoure, 248. Sert d’interprète pour répondre aux propositions qui sont faites aux prisonniers chrétiens de la part du Souldan, 287. Est mis dans une galère avec d’autres seigneurs pour être conduit à Damiette, 292. Part pour retourner en Europe, et meurt sur mer, 305. (Joinville.)

Mauclère, avocat au parlement de Rouen, découvre le projet de livrer cette ville à Henri IV, XXXVI, 206.

Maucour (le seig. de) s’attire la colère de Jean de Luxembourg à l’occasion du château de Coucy, VII, 321.

Mauger (Perrette), convaincue de vols et de larcins, est condamnée à être enfouie toute vive devant le gibet, XIII, 249.

Maugeron (le capit.) défait dans la plaine de Cerisolles une petite armée volante, XXX, 213. (Du Villars). — Monte le premier à l’assaut de Dinant, XXXI, 258. (Comm. de Rabutin.) Est blessé dans une sortie devant Metz, XXXII, 310. (Siége de Metz.)

Maugeron (le sieur de), gouvern. de Vienne pour le Roi, entre en intelligence avec le duc de Nemours, et lui livre tous les forts de cette place, XLI, 96 et suiv.

Maugiron, favori de Henri III, après avoir quitté le service du duc d’Alençon, conjure la ruine de ce prince, qu’il brave et méprise sans respect, XXXVIII, 141.

Maugue (Jean), fondeur, est tué avec 24 personnes d’une grosse bombarde dont on fait l’essai à Paris, XIV, 82.

Maulevrier (le comte de), sénéchal de Normandie, surprend sa femme Charlotte de France, fille naturelle de Charles VII et d’Agnès Sorel, avec un de ses veneurs, et les tue tous deux, XIV, 37.

Maulevrier (le capit.) se distingue au siége de Padoue, XV, 286.

Maury (Alain de), frère d’Olivier, se joint à Duguesclin, IV, 274. Se distingue à la bataille de Montiel, V, 38 ; à celle de Pontvallain, 86.

Mauny (Olivier de), cousin de Duguesclin, un de ses assistans au combat en champ clos livré près de Pontorson, IV, 209. Se joint à lui pour aller au secours de Charles de Blois, 226. Attaque et prend Carentan, 280. Fait un carnage horrible à la bataille d’Auray, 295. S’unit aux chefs de bandes qui vont en Espagne, 326. Contribue à la prise