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137. La citadelle de Suse et le fort de Saint-François sont remis entre ses mains, 139. Reçoit la visite de Madame, 141, et celle de M. de Savoie à Suse, 143. Reçoit des ambassadeurs de tous les princes d’Italie, 150. Revient en France ; envoie à la Reine mère l’ordre de remettre en liberté la princesse Marie et madame de Longueville, qu’elle a fait arrêter, 158. Va faire le siége de Privas, 161. Force cette ville à se rendre à discrétion, 163. Soumet Alais ; se rend à Anduse, 164. Accorde la paix aux protestans ; à quelles conditions ; donne au cardinal de Richelieu la commission de réduire Montauban, 165. Quitte S.-Jean-de-Maurienne pour aller à Lyon, 168. Y tombe malade, 169. Pressé par la Reine mère de renvoyer le cardinal de Richelieu, il la remet à son retour à Paris pour en décider, 171. Revient à Paris, après avoir pourvu diligemment au secours de Casal, 172. Détrompe le cardinal sur la bonne mine que lui fait la Reine mère, 174. Ses entrevues avec cette princesse, dans l’une desquelles il est surpris par le cardinal ; son départ précipité, 175. Accueille avec joie le cardinal à Versailles, 176. Résolutions prises entre eux ; sa froideur envers la Reine mère, 177. Moyens pris pour gagner Monsieur, en gagnant messieurs de Puylaurens et Le Coigneux, confidens de ce prince, 178. Le Roi se rend à Compiègne, où la Reine mère le suit, 180. Il essaie par tous les moyens d’adoucir son esprit, 181. Assemble son conseil, où le renvoi du cardinal et la séparation du Roi d’avec sa mère sont proposés comme seuls moyens de remédier l’un ou l’autre à l’état des affaires ; le Roi rejette le renvoi du cardinal et adopte le second moyen, 182. Fait garder la Reine mère à Compiègne, 183. Lui écrit pour la prier de vouloir aller à Moulins, 184. Envoie le cardinal de La Valette auprès de Monsieur pour l’engager à revenir à la cour, 185. Sur le refus de Monsieur, il part lui-même pour Orléans, se rend à Dijon, fait vérifier une déclaration contre ceux qui ont suivi ce prince, 186. Revient à Paris ; fait de nouvelles et inutiles tentatives auprès de la Reine mère, 187. Fait sortir de Compiègne les troupes qui la gardent, pour la porter plus facilement à s’accommoder à ses volontés, 189. Fait d’inutiles efforts pour l’obliger à rentrer en France, 194. D’après les conseils du cardinal, il se décide à porter ses forces dans les Pays-Bas, 201. Mesures prises pour l’expédition 203. Convoque l’arrière-ban, 226. S’avance avec les gardes françaises et suisses jusqu’en Barrois ; attaque et prend S.-Mihiel, 232. Remet le pays sous son obéissance et retourne à Paris, 233. Exile quelques membres du parlement qui s’opposent à la vérification de certains édits, 235. Envoie M. Du Hallier, capitaine des gardes, sur le chemin de la Bourgogne, pour empêcher Monsieur de passer dans la Franche-Comté ; dépêche en même temps vers ce prince pour l’engager à revenir à la cour, 275. (Fontenay-Mareuil.)

Louis, comte de Blois et de Chartres, prend la croix au château d’Escry en Champagne, I, 13. Devient duc de Nicée, 63. (Notice.) — Arrive à Venise avec les barons croisés ; réception qu’on leur fait, 134. Donne et emprunte de l’argent pour le passage des croisés, 138. Accepte les propositions faites par Alexis, 162. Est nommé pour conduire le quatrième corps de bataille contre l’emper. Alexis, 198. Livre un assaut à la ville de Constantinople, 212. Reste à la garde du camp des croisés pendant l’expédition du jeune empereur Alexis, 238. Tombe malade pendant le siége de Constantinople, 272. Garde cette ville pendant l’expédition de l’emper. Baudouin, 290. Réconcilie ce prince avec le marquis de Montferrat, 310. Reçoit le duché de Nicée, 316. Est rappelé d’Atramittium auprès de l’emper. Baudouin, 342. Est repoussé par les