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mot qui a été répété par tous les historiens, 7. Sa conduite généreuse envers les membres du parlement et envers mad. de Beaujeu, 8. Assure par des lettres patentes, à Suzanne sa fille, les apanages du duché de Bourbonnais et du comté d’Auvergue ; se concilie le respect et l’amour de ses sujets, 9. Forme son ministère ; noms de ceux qui le composent, 10. Se fait sacrer à Reims, et prend les titres de duc de Milan et de roi de Naples ; prend la résolution de faire casser son mariage ; troubles et agitations que lui cause cette résolution, 11. Moyens de nullité présentés par les conseillers du Roi, 13. Le mariage est annulé, 14. Louis demande la main d’Anne de Bretagne, 16. Se rend à Nantes, où son nouveau mariage est célébré, 17. Refuse le don gratuit pour joyeux avénement ; réduit les impôts d’un dixième, 19. Rend une ordonnance pour que les troupes aient des garnisons fixes, et que leur subsistance y soit assurée ; une autre pour l’administration de la justice et la réforme des nombreux abus qui se commettoient dans cette partie, 20. Abolit les commissions extra-judiciaires, 21. Supprime les priviléges de l’Université qui étoient contraires au bon ordre, 22. Se rend à Paris pour réduire à l’obéissance ce corps rebelle, 23, et le fait rentrer dans le devoir ; fait des préparatifs pour envahir le duché de Milan, 24. Confirme le traité de Barcelone, celui d’Étaples ; resserre les liens qui attachoient les Suisses à la France, 25. État de fermentation où étoit alors l’Italie, 26. Louis contracte une étroite alliance avec César Borgia, et lui donne le duché de Valentinois, 29. Envoie demander à Venise Crémone et quelques places situées sur l’Adige ; met son armée sur pied ; noms de ceux à qui il en confie le commandement, 30. Passe les monts ; fait son entrée dans Milan, revêtu du manteau ducal ; traite les Milanais comme ses sujets ; heureuse réforme qu’il introduit dans le duché, 33. Est recherché par les puissances d’Italie ; revient en France, laissant le gouvernement du Milanais à Trivulce, 34. Il le lui ôte ensuite pour le donner au cardinal d’Amboise, 39. Veut faire rentrer Pise sous la domination des Florentins, 40. La conduite des Pisans désarme les soldats français, qui lèvent le siége de cette ville, 41. Le Roi fournit à César Borgia un corps d’armée pour conquérir une principauté dans la Romagne, 42. S’occupe avec le cardinal d’Amboise à réformer les couvens ; caractère de la piété du Roi 43. Se décide à entreprendre la conquête de Naples ; ses incertitudes à cet égard, 44. Arrangement conclu avec Ferdinand d’Espagne, qui le trompe, 45. Se rend à Milan pour juger des plaintes des puissances d’Italie contre César Borgia, 49. Est trompé ou séduit par ce dernier ; resserre les liens qui l’unissent à sa famille, 50. Veille au bonheur des Milanais ; se rend à Gênes, où il gagne les cœurs par sa popularité, 51. Sa liaison et sa correspondance avec Thomassine Spinola, 52. Projette d’envoyer une flotte dans la Méditerranée, 54. Comment il tombe dans le piége que lui tend le roi d’Espagne, 55. Ligue qui se forme contre les Français en Italie, 56. Cède à perpétuité aux Suisses la forteresse de Bellinzone ; fait un appel à son peuple ; lève une armée pour attaquer le Roussillon ; charge La Trémouille d’aller reconquérir le royaume de Naples, 58. Ce général étant tombé malade, il envoie à sa place le marquis de Gonzague, dont la lenteur le fait accuser de trahison ; puis le marquis de Saluces, qui ne peut passer le Gariglian, 61. Le Roi tombe malade ; vives inquiétudes de toute la nation, 62. Sa guérison donne lieu à un grand nombre de fêtes dans tout le royaume, 63. Motifs différens qui engagent le Pape, l’archiduc Philippe et l’empereur Maximilien à envoyer des ambassadeurs à Louis XII, et à former une ligue avec lui contre les Vénitiens,