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bie, 113. Fait brûler toutes les villes depuis Abbeville jusqu’à Arras ; sa lettre à La Bellière à ce sujet, 114. Rend compte à Dammartin de ce qui s’est passé à Arras, et de la mort de plusieurs seigneurs du parti du duc de Bourgogne, 115. Envoie de nouveau vers l’Empereur pour l’engager à ne faire ni paix ni trève l’un sans l’autre, 116. L’Empereur lui répond par un apologue, 117. Louis gagne le héraut que lui envoie le roi d’Angleterre, et lui fait de grands présens, 127. Détache du parti du duc de Bourgogne les seigneurs de Genlis et de Mouy, 128. Refuse au connétable de S.-Paul de prêter le serment qu’il exige de lui pour se rendre à l’entrevue que le Roi lui demande, 129. Moyen qu’il emploie pour faire des propositions d’accommodement au roi d’Angleterre, 133. Conférences tenues près d’Amiens ; noms des ambassadeurs des deux partis, 138. Propositions qui y sont faites, 139. Entrevue des deux Rois décidée, 144. Louis se rend à Amiens ; comment il y fait traiter les Anglais pendant 3 jours, 146. Préparatifs pour l’entrevue des deux Rois au château de Pequigny, 150. Précaution prise par Louis, 151. Détails sur l’entrevue ; noms des personnes qui accompagnent les deux Rois, 154. Une trève de sept ans est jurée par les deux princes, qui se promettent paix et amitié pendant toute leur vie, 156. Attention du Roi à ne rien dire ou faire qui puisse offenser les Anglais ; comment il répare une indiscrétion qui lui est échappée, 160. Lettre à double sens adressée au connétable de S.-Paul, 163. Conclut une trève de 9 ans avec le duc de Bourgogne, 168. Élude les offres que le roi d’Angleterre lui fait faire à cette occasion, 169. Résolution prise entre le Roi et le duc à l’égard du connétable de S.-Paul, 170. Louis se rend maître de S.-Quentin, 172. Essaie de détacher le comte de Campobasse du parti du duc de Bourgogne, 176. Fait commencer à Paris le procès du connétable, 177. Profite des divisions de l’Espagne pour se rendre maître de Perpignan, 183. Instructions secrètes envoyées à Dubouchage relatives au Roussillon, 184. Lettres du Roi à ce seigneur sur les affaires de cette province, 186. Le Roi signe un traité d’alliance avec l’Empereur et les électeurs contre le duc de Bourgogne, avec lequel il vient de conclure une trève de 9 ans, 193. Se rend à Lyon pour être plus à portée de savoir ce qui se passe entre le duc et les Suisses ; divers messages envoyés de différens côtés, 196. Présens faits aux ambassadeurs suisses, 205. Réprime les entreprises du cardinal La Rovère, 210. Somme le Pape de convoquer un concile, 211. Reçoit au château du Plessis sa sœur Yolande de Savoie, 215. Fait un traité avec elle, et lui fait rendre ses enfans, ses places et ses bagues, 216. Fait avertir le duc de Bourgogne que le comte de Campobasse le trahit, 228. Fournit de l’argent au duc de Lorraine pour l’aider contre le duc de Bourgogne, 229. Comment il récompense ceux qui lui annoncent de bonnes nouvelles, 242. Sa joie en apprenant la défaite du duc de Bourgogne devant Nancy ; ses diverses résolutions, 243. Assemble tous ses capitaines, leur lit les lettres qu’il a reçues, et leur donne un grand dîner, 244. Instructions données à ceux qui doivent entamer les négociations de mariage entre Marie, fille du duc, et le Dauphin, fils du Roi, 254. Louis reçoit sous son obéissance Ham, Bohain, S.-Quentin et Peronne ; envoie son barbier Olivier le Diable ou le Dain à Gand pour engager cette ville à se rendre à lui, 257. Se rend maître d’Arras ; traitement cruel qu’il fait subir à 23 habitans de cette ville, 269. Va mettre le siége devant Hesdin, 271. S’en rend maître, ainsi que de Boulogne, 273. Fait mourir plusieurs habitans d’Arras, 274. Comment il se conduit à l’égard de l’Angleterre ; dons et présens qu’il fait à plusieurs An-