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linski, 112. Après le discours prononcé par l’évêque dans la diète générale, il va visiter plusieurs seigneurs polonais, 131. (Mém. de Choisnin.) — Nommé gouverneur de Cambray pour la Reine mère, il veut devenir prince du Cambrésis ; il a recours au duc de Guise pour y parvenir, XXXVIII, 420. Traité qu’il conclut avec lui, 421. Est blessé au combat livré près de Senlis, et se retire à Paris, XXXIX, 177. Assiégé dans Cambray par le comte de Fuentès, il envoie demander des secours au duc de Nevers, XLIII, 68. Comment il s’aliène l’esprit des habitans de cette ville, 98. Est forcé de la rendre par capitulation, 99. Défait dans le Hainaut des partis d’Espagnols, 277. (Mém. de Cayet.) Se remarie à Diane d’Estrées, XLVII, 159. Sa mort, son épitaphe, 394. (Mém. de L’Estoile.)

Balagny (madame de) meurt de chagrin du déshonneur dont s’est couvert son mari à la prise de Cambray, XLVII, 146.

Balbek (Heliopolis), ville fameuse par ses anciens monumens, III, 11.

Baldouin, jésuite, est arrêté prisonnier, et conduit en Angleterre, XLIX, 112.

Balouin, flamand, chef d’une conspiration tramée contre le duc d’Alençon, évite le supplice en se donnant la mort, XLV, 235.

Baleins (le capitaine), commandant du château de Lectoure, venge d’une manière singulière l’affront fait à sa sœur, XXXVII, 316. Obtient sa grâce du roi de Navarre, et remet le château dans les mains de celui que le Roi y envoie, 317.

Ballart (Martin), chevalier piémontais, dispute un pas d’armes près de Dijon, IX, 350. Montre plus de hardiesse que de courage réel, 351.

Ballassat (le seigneur de), chargé de préparer le logement de Charles VIII dans la maison de Pierre de Médicis à Florence, pille tout ce qu’il trouve dans cette maison, quand il apprend que Pierre est chassé, XIII, 50.

Ballue (Nicole), frère de l’évêque d’Évreux, est marié à la fille de Jean Bureau, seigneur de Montglat ; le Roi et la Reine assistent à ses noces, XIII, 356.

Ballue (Jean de), évêque d’Évreux, depuis cardinal, seconde les efforts de Charles de Melun pour la défense de Paris contre les princes ligués, XI, 287. Est envoyé à Peronne auprès du duc de Bourgogne, 463. Conseille au duc de Berri de ne point accepter le duché de Guienne ; est arrêté, enfermé long-temps dans une cage de fer ; obtient enfin sa liberté, 519. (Introd.) — Est assailli le soir dans la rue Barre-du-Bec par des ennemis, et blessé, XIII, 313. Est envoyé en ambassade auprès du comte de Charolais, 361. Fait la revue des bannières des métiers de Paris, 367. Exhorte le duc de Bourgogne par lettres secrètes à faire la guerre au Roi ; est arrêté et interrogé, 390. (J. de Troyes.)

Baltasin (Galiot de), chambellan du duc de Milan, arrive à la cour du duc de Bourgogne avec le désir de faire quelque entreprise d’armes, IX, 409. Accepte celle que lui propose le seigneur de Ternant, 410. Le jour et le lieu sont fixés, 411. Détails à ce sujet, 412. Le duc de Bourgogne en est le juge, 413. Description des combats à pied et à cheval que les deux champions se livrent, 414 et suiv.

Bambroc (Guillaume de), chevalier anglais, propose un défi à Duguesclin, IV, 198. Est renversé et blessé dans le combat, 202. Insiste auprès du captal de Buc pour qu’il ne quitte pas sa première position, 262.

Bandeville, gentilhomme de Champagne du parti de la Ligue, est tué au siége de Montbar, XXXV, 372.

Banneret, terme général pour désigner les nobles qui étoient d’une dignité relevée, et avoient le droit de porter la bannière dans les armées du prince, III, 176. Conditions pour être élevé à la dignité de banneret,