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sine qu’il occupoit avec 800 chevaux, XVI, 203.

Lievin de Steelant, écuyer gantois au service du duc de Bourgogne, est tué au siége d’Alost, X, 119.

Lievin Bonne, maçon, se met à la tête des rebelles de Gand ; devient leur capitaine ; marche avec eux sur Oudenarde, X, 70.

Lièvre (Le), de Rouen, à la tête de 10,000 bourgeois de cette ville assiége Rouleboise de concert avec Duguesclin, IV, 241.

Lignane (P. de) est tué à la bataille de Grandson, X, 395.

Ligne (J. de) joûte au mariage du duc de Bourgogne, X, 368.

Ligneris (le sieur de) soulève les habitans de Chartres et les entraîne dans la Ligue ; motifs de sa conduite, XXXVI, 132.

Lignerolles, favori du Roi, est assassiné au milieu de la cour ; ce meurtre, resté impuni, y cause beaucoup d’agitation, XX, 144 ; XXV, 198.

Lignery, commandant de Verneuil pour la Ligue, rend cette place au comte de Soissons, XL, 2.

Lignières (le capit.) est tué dans une course avec partie de sa compagnie entre Hesdin et Montreuil, XXXI, 49.

Lignoux (le sieur de), blessé au siége de Rouen, meurt de sa blessure, XLIV, 548.

Ligny (Louis de Luxembourg, seign. de), fils du comte de S.-Paul décapité sous Louis XI, remarque le chevalier Bayard, XV, 161. Parle de lui à Charles VIII, 164. Le présente au Roi, qui l’attache à la maison de ce seigneur, 167. Reçoit après la conquête de Milan les seigneuries de Tortone, Vagayre, etc., qui se révoltent ensuite, 219. Se propose de les réduire ; entre dans Vagayre, 220. Sa conduite envers les habitans de cette ville, qui viennent lui demander pardon, 221. À la prière de son lieutenant Louis d’Ars, il le leur accorde ; offre à Bayard toute la vaisselle qu’ils sont venus lui présenter, 222. Usage que le bon chevalier en fait ; le seigneur de Ligny, touché de sa générosité, lui envoie le lendemain un beau présent, 223. Épouse la princesse d’Altemore, qui meurt de chagrin après son départ de Naples, 224. Cause de la mort de ce seigneur, 225.

Ligue (la) : factions qui la partagent après la mort de Henri III, XX, 231. (Introd.) — Prétentions de chacun des princes qui la soutiennent, XXXVI, 223. (Mém. de Cheverny.) — Articles de la Ligue qui sont imprimés et envoyés par toute la chrétienté, XXXVIII, 254. Observations sur ces articles, 257. Les chefs de la Ligue prennent les armes en 1585, 263. Leurs motifs apparens, 264. Contraventions des princes de la Ligue à l’édit de réunion, 410 et suiv. (Cayet.) — Efforts de l’Espagne pour faire choisir par les États généraux de la Ligue un roi à sa dévotion, XLIV, 331. (Villeroy.) — Les quarteniers et dixainiers de Paris vont dans les maisons faire signer la Ligue, XLV, 148. Vers faits sur la Ligue et le gouvernement, 305. Observations remarquables sur l’état de la Ligue, tirées de la Suite du Manant, XLVIII, 388. (L’Estoile.).

Ligue des protestans en France : variations dans son gouvernement ; elle n’est ni toute populaire ni toute aristocratique, XXV, 236 et suiv.

Ligueurs (les) demandent insolemment à la cour du parlement qu’elle fasse justice de Du Belloy, huguenot, prisonnier à la Conciergerie, XLV, 367. Disposent à leur gré des cures de Paris, 370. Abattent les sépulcres et figures de marbre érigés par le Roi dans l’église de S.-Paul pour ses mignons S.-Mesgrin, Quélus et Maugiron, 380. Après la mort de Henri III, ils mettent en liberté, moyennant rançon, ceux qu’ils ont emprisonnés pour faciliter l’assassinat de Jacq. Clément, XLVI, 5. Une bande de ligueurs qui sont allés à S.-Cloud en bateau pour honorer les cendres de Jacq. Clément sont submergés à leur retour, 6. Les ligueurs font chanter un Te Deum