Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/345

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

d’anathême, 45. Traite secrètement avec l’Empereur ; rend public le traité qu’il a fait avec lui, 48. Meurt d’un catarrhe violent, 50. (Introd.) — Se ligue avec Charles-Quint ; conditions de cette ligue, 333. Récit des causes qui lui font abandonner le parti du Roi, 334. Meurt de joie d’apprendre que les Français ont perdu Milan, 359. (Mém. de Du Bellay.)

Léon Sgure, prince grec, aspire à la main d’Eudocie, fille de l’usurpateur Alexis, I, 67. Inquiète les Français, 68. Épouse Eudocie ; ne peut défendre le passage des Thermopyles, 72. (Notice.) — Refuse de se soumettre au marq. de Montferrat, 314. Défend vigoureusement Corinthe, 336. (Ville-Hardouin.)

Léonor (le capit.), fils de M. de La Bourdezière, maître de la garde-robe, du Roi, est tué au siége de Thionville, XXVII, 361.

Léopold, archiduc, s’empare de la ville et château de Calcof, au voisinage d’Aix-la-Chapelle, XLVIII, 383.

Le Porc (le cheval.) dresse une embuscade près de Séez au comte de Salisbury, et lui tue du monde, VIII, 108. Défend le château de Mayenne-la-Juhais contre ce même comte ; est obligé de le rendre en payant 2,000 écus, 110.

Leprestre, march. joaillier, est pendu comme séditieux, et pour avoir blessé un ligueur ; il meurt en confessant qu’il est de la religion réformée, et assigne à comparoître bientôt devant le grand juge l’échevin Compan, qu’il accuse de sa mort, XLVI, 77.

Lermes (le baron de), un des chefs de bandes qui désoloient la France sous Charles-le-Sage, IV, 323.

Le Roux (Jean), chevalier français, est tué à la bataille de la Brossinière, VIII, 98.

Leroy est pendu à Paris pour avoir falsifié un appel d’un prevôt des maréchaux, XLVII, 417.

Lescale (M. de) écrit à un de ses amis une lettre sur les affaires du temps, XLVII, 392.

Lescun (le bâtard de), depuis connu sous le nom de comte de Comminges, révèle à la cour de France les intrigues de Jean d’Armagnac, XI, 169. Obtient pour récompense Severac et Capdenac, et s’attache à la fortune du Dauphin, 170. (Introd.) — Se réunit aux Bretons révoltés ; succède au crédit du ministre Landais, favori du duc de Bretagne, XIV, 160. Abandonne les intérêts du Roi pour soutenir les droits de la princ. Anne, et servir les projets du duc d’Orléans ; est privé de la sénéchaussée de Guyenne, 166. Promet au seigneur d’Albret la fille aînée du duc de Bretagne, et le détermine par là à venir au secours du duc, 169. (Tabl. du règ. de Ch. VIII.)

Lescun (Thomas de Foix), frère de Lautrec, défend Parme contre les Espagnols ; chasse de la ville 6 ou 7 capitaines italiens et leurs compagnies, XVI, 381. Force les Espagnols à lever le siége, 382. (Mém. de Fleurange.) — Soumet tout le duché d’Urbin ; en met en possession Laurent de Médicis, XVII, 276. Sa conduite dans le Milanais indispose les esprits contre lui, 335. Son entreprise sur Reggio à l’occasion des bannis, 336. Est remplacé par son frère Lautrec, 342. Est envoyé au secours de Parme, qu’il est obligé d’abandonner, 346. Rejoint l’armée de son frère à Crémone, 350. (Du Bellay.)

Lescun, conseiller au parlement de Pau, est envoyé par les protestans de ce pays pour réclamer contre l’arrêt du conseil portant rétablissement de la religion catholique et des ecclésiastiques dans leurs biens, L, 396.

Lesdiguières (le sieur de) bat les ligueurs et le duc de Savoie dans le Dauphiné, XXXVI, 186. Il les bat une seconde fois au fort Barrault, 200. S’empare de la vallée de Morienne ; oblige le duc de Savoie à se retirer du Dauphiné, 331. Emporte de force le fort Barrault, dont