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glat, et lui donne pour gouverneur M. de Souvré, L, 12. Devient amoureux de la princesse de Condé, 14. Après avoir inutilement tenté de ramener le prince à la cour, il imagine et exécute le projet de voir la princesse, 17. Chagrin qu’il ressent à la nouvelle de la retraite de M. le prince à Bruxelles, 19. Fait prier le roi d’Espagne et l’archiduc de ne donner ni assistance ni retraite au prince de Condé, 20. Motifs qui portent le Roi à faire la guerre : la succession de Clèves, 23 ; et celle de l’Empire, qui ne peut être éloignée, 25. Ses intelligences en Italie, 27. Dispositions favorables des puissances de ce pays, 30. Dispositions de la Navarre, de l’Angleterre, 32. Projet de mariage de M. le Dauphin avec l’héritière de Lorraine, 33. Le Roi rend un édit contre les duels, 34. Armées destinées à l’exécution de ses grands desseins ; par qui elles doivent être commandées, 36 et suiv. Envoie M. de Préaux à Bruxelles avec des lettres pour madame la princesse, de la part de M. le connétable son père, et de madame d’Angoulême sa tante, 41. Fait demander à l’archiduc qu’il remette la princesse en liberté, 42. Continue ses grands préparatifs, 43. Veut faire la Reine régente ; la fait couronner, 44. Les ambassadeurs d’Espagne et de Venise s’injurient et se donnent des coups de poing à cette cérémonie, 45. Le Roi est assassiné, 47. Prédictions sur sa mort, 52. Comment ce prince prend soin lui-même des affaires de l’État, 55. Ses maximes en fait de gouvernement, 59. Sa conduite à l’égard des finances, 62 ; et dans la distribution des emplois, 68. Pensions accordées à ceux qui l’ont servi, 71. Sa conduite envers madame de Montpensier, 72 ; envers M. de Sigongnes, gouverneur de Dieppe, 73 ; envers M. de S.-Chaumont, 74. Il reste constamment attaché à ceux qui l’ont servi, 75. Sa bonté et sa douceur pour tous ceux qui l’approchent, 76. Sa conduite envers les grands seigneurs qui prétendent au titre de prince, 80 ; et à l’égard du duc de Mercœur, décrété d’ajournement personnel par le parlement pour avoir insulté l’avocat général Servin, 85. Exemples de sa clémence et de sa justice ; son estime pour les personnes considérables, 86. Son esprit s’étend à tout ; manufactures, bâtimens, 88. Sa politique envers les étrangers, 89. Sa prévoyance, 91. Ses fautes, 93. (Fontenay-Mareuil.)

Henri, religieux du Temple, coupable de meurtre sur la personne d’un autre religieux, est condamné par le grand prieur à rester prisonnier dans un cachot, et à n’y vivre que de pain et d’eau, XIII, 354.

Heraugière (le sieur de) s’empare de Breda par surprise pour le comte Maurice, XL, 13 et suiv. En est nommé gouverneur, 16. Surprend la ville de Lire en Brabant, XLIII, 101. Se sauve avec peine de cette place, 102.

Herbastein (le colonel) à la tête d’une armée de 10,000 hommes se porte sur Bakochra, dont il se rend maître, XLIII, 187. Livre bataille au bacha de Bosnie, le défait ; se rend maître du fort de Petrine, 188.

Herculana (Cather.), femme de Jérôme de Thurny, lieutenant du vidame de Chartres, donne avis au maréchal de Brissac qu’elle est résolue à défendre le château de Villefranche à la pointe de l’épée, et répond de la place, XXX, 201.

Henri (le seign. de) est tué par les Gantois au village de Nevèle, X, 95.

Hermanville (Ch. de), un des otages donnés par les Anglais lors de la reddition de Caen, VIII, 552.

Hernand-Teille, capit. espagn., gouverneur de Dourlens, s’empare de la ville d’Amiens ; détails sur cette affaire, XXXVI, 322. Y est assiégé par Henri IV, et tué après une généreuse défense, 328.

Heroard, premier médecin du Dauphin, publie un livre intitulé l’Institution d’un prince, XLVIII, 230.