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qui vient lui faire des remontrances sur quelques édits bursaux, 201. Se rend lui-même au parlement pour y faire enregistrer ces édits d’autorité, 203. Pardonne au comte d’Auvergne et au vicomte de Tavannes, 204. Donne ordre à tout ce qui est nécessaire au siége d’Amiens ; y marche en personne, 205. Achète le duché de Beaufort, qu’il donne à la marquise de Monceaux, qui en prend le nom, 208. Reprend Amiens, 215. Sa lettre à Duplessis-Mornay sur l’outrage qu’il a reçu, 217. Fait plusieurs chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit ; leurs noms, 220. Établit le prince de Conti pour gouverneur de Paris, et le déclare chef de son conseil, 221. En se rendant en Bretagne, il accorde amnistie à plusieurs seigneurs qui viennent se soumettre, 222. Accorde l’amnistie au duc de Mercœur ; marie son fils naturel César à la fille de ce duc, 224. Accorde aux religionnaires l’édit de Nantes, 225. Écrit aux gouverneurs des provinces pour leur annoncer le traité de paix de Vervins, 226. Jure à Notre-Dame l’observation de ce traité, 228. Rend une ordonnance qui défend dans tout le royaume le port d’armes offensives, 233. Sa réponse à la députation du clergé de France, 236. Accorde quelques demandes du clergé relatives à la religion réformée, 237. Ordonne au parlement d’enregistrer l’édit de Nantes, 243. Sa réponse ferme aux députés du parlement sur ce sujet, 244. Va visiter le capucin Joyeuse dans sa cellule, 245. Sa douleur à la mort de la duchesse de Beaufort, 249. Sa réponse au parlement à l’occasion de quelques prédicateurs séditieux, 250. Fait remercier le Pape et les cardinaux à l’occasion de la résolution qu’ils ont prise concernant son mariage, 257. Écrit à la reine Marguerite pour lui en annoncer la nullité et l’assurer de son amitié, 258. Accorde au duc de Savoie commutation de la peine de mort pour une femme trouvée en adultère avec son domestique, 263. Refuse de faire arrêter le duc de Savoie, 265. Traité conclu entre eux au sujet du marquisat de Saluces, 266. Le Roi accompagne le duc à son départ jusqu’au pont de Charenton ; crée Henri de Lorraine pair de France et duc d’Aiguillon, 267. Nomme des commissaires de l’une et de l’autre religion pour assister à la conférence qui doit se tenir pour la vérification des passages cités dans le livre de Duplessis-Mornay ; sa réponse au nonce du Pape au sujet de cette conférence, 271. Il préside la conférence, 278. Son contrat de mariage avec Marie de Médicis est passé à Florence au palais Pitti, 281. Sa lettre au duc d’Épernon sur la conférence, 284. Il se rend à Lyon pour attendre la dernière réponse du duc de Savoie, 285. Sa réponse aux ambassadeurs du duc, 286. Il publie contre lui une déclaration de guerre, 287. Refuse de consentir à une cessation d’armes ; entre dans Chambéry, 288. Accorde la vie sauve aux habitans de Conflans, 289. Envoie à Lyon les drapeaux pris dans le fort de Charbonnières, 296. Se rend à Lyon auprès de Marie de Médicis, 305. Est marié avec elle par le cardinal Aldobrandin, 306. Signe le traité de paix avec le duc de Savoie, 307. Donne des moyens pour rebâtir l’église de Ste.-Croix-d’Orléans, 309. Rappelle d’Espagne son ambassadeur, et rompt tout commerce avec ce pays ; pourquoi ; crée une nouvelle chambre royale pour la recherche des malversations des financiers, 316. Donne la croix et le cordon bleu au Dauphin nouveau-né, 321. Prête le serment pour la paix conclue avec le duc de Savoie, 325. Attire avec beaucoup de peine le maréchal de Biron à la cour, 333. Refuse aux parens et alliés du maréchal de lui sauver la vie, 336. Adresse au parlement des lettres patentes pour que l’exécution du maréchal se fasse dans la cour de la Bastille, 339. Enjoint au parlement de vérifier son édit sur le surhaussement des monnoies, 348. Reçoit