Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/291

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cette ville, 388. Permet aux protestans de s’assembler à Châtellerault, 398. Se rend à Nantes pour juger de leurs plaintes et ranger au devoir le duc de Mercœur, 399. Fait de nouveaux chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit, 405. Reçoit la soumission de plusieurs villes du Poitou, 412. Accorde au duc de Mercœur un édit de réduction ; conditions de cet édit, 414. Se rend à Rennes ; rétablit l’ordre en Bretagne ; congratulation des Bretons, 417. Publie une déclaration sur les édits de pacification concernant les protestans, 419. Fait la paix avec l’Espagne, 420. (Mém. de Cayet.) — Assiége et prend Noyon à la vue du duc de Mayenne, XLIV, 234. Fait abjuration à S.-Denis, 339. Accorde au duc de Mayenne une suspension d’armes, 340. Se fait sacrer à Chartres, 356. (Villeroy.) — Son discours aux seigneurs qui lui ont juré obéissance après la mort d’Henri III, 540. État de l’armée royale devant Paris, 543. Le Roi s’assure de Creil, et entre dans Clermont, 544. Se rend à Dieppe, où il est reçu avec acclamation, 550. Apaise une division élevée entre le duc de Montpensier et le maréchal de Biron, 551. Rend grâces à Dieu de la victoire qu’il vient de remporter à Arques, 576. Reçoit un secours d’argent et de munitions de la reine d’Angleterre, 578. Triste état de ses finances, 579. Comment il défend le château d’Arques contre le duc de Mayenne, 580. Reçoit un secours d’Écossais, 585 ; et un autre de 4,000 Anglais, 589. Il va visiter les vaisseaux anglais, 590. Comment il y est reçu, 591. Il va lui-même au devant des comte de Soissons et ducs de Longueville et d’Aumont, qui viennent l’assurer de leur fidélité, 593. Il retourne à Dieppe, où il publie l’état des nouvelles troupes qu’il a reçues, 595. (Mém. du duc d’Angoul.)

Bon mot de ce prince à un gentilhomme qui joue du luth en chantant devant la princesse de Condé sa tante, XLV, 116. Se sauve de Paris, se retire en Anjou ; reprend la religion réformée, 129. Demande à se retirer dans ses terres du Béarn, et un secours pour recouvrer la Navarre, 130. Fait avec le prince de Condé et le maréchal d’Amville une contre-ligue, et recommence les hostilités, 146. Reçoit dans Nérac la Reine mère ; ses paroles au cardinal de Bourbon au sujet de la Ligue, 177. Averti d’un complot fait pour le tuer, il se retire à Nérac ; diverses tentatives faites contre sa vie, 196. Se rend maître de Cahors, où il combat en personne, 199. Répond par un manifeste à la bulle d’excommunication lancée contre lui par le pape Sixte-Quint, 300. Gagne la bataille de Coutras, 340. Fait une capitulation avec les reîtres pour les faire retourner dans leurs pays ; Te Deum à ce sujet, 342. On lui attribue le massacre fait dans le pays d’Armagnac d’une compagnie de gentilshommes réunis pour entreprendre contre sa vie, 356. Se rend à Tours par ordre du Roi ; leur entrevue, 398. Est proclamé roi de France par l’armée après la mort de Henri III, 408. Il fait tirer à quatre chevaux et brûler le corps mort de Jacq. Clément, 410. Obstacles qu’il a à vaincre pour conquérir son royaume ; prophétie de Nostradamus vérifiée à son égard, XLVI, 7. Lève son camp de S.-Cloud ; prend Creil, Clermont ; s’empare de Mantes, de Gisors, 9. Reçoit Dieppe et Pont-de-l’Arche des mains de leurs gouverneurs ; fait un discours aux princes et seigneurs de son armée, promettant la liberté de conscience et de se faire instruire dans la religion catholique, 10. Défait l’armée de la Ligue à la journée d’Arques, 12. Paroît devant Paris avec son armée, lorsqu’on le dit mort ou pris ; va à Meulan ; danger qu’il y court, 14. Surprend les faubourgs de Paris, 15. Couche sur un lit de paille fraîche au Petit-Bourbon ; monte au haut du clocher de S.-Germain-des-Prés avec un moine ;