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sur son refus la presse avec vigueur, 205. Livre combat aux ducs de Parme et de Mayenne près d’Aumale ; y est légèrement blessé ; se retire à Dieppe, 207. Averti par Cheverny, il se rend en toute hâte à Darnetal pour attaquer le duc de Parme, 208. Défait l’avant-garde du duc de Mayenne ; bat le prince de Parme à Yvetot, 210. Le poursuit, et le force à se retirer vers l’Artois, 211. Publie une déclaration en réponse à celle du duc de Mayenne, et la fait enregistrer dans toutes les cours souveraines soumises à son obéissance, 226. Adresse des lettres aux évêques pour les appeler auprès de lui, désirant s’instruire dans la religion catholique, 233. Fait abjuration solennelle à Saint-Denis, 238. Cérémonie de cette abjuration, 239. Le Roi signe une trève avec le duc de Mayenne, 242. Envoie au Pape protester de son obéissance au Saint-Siége, 243. Publie une déclaration pour faire connoître la sincérité de sa conversion, et annoncer qu’il est résolu à soumettre par les armes tous ceux qui refuseront encore de le reconnoître, 253. Se fait sacrer à Chartres, 261. Consent à recevoir le duc de Mayenne comme un sujet repentant ; comment il entre dans Paris avec 4,000 hommes, 268. Joie que sa présence y cause, 271. Le Roi publie une déclaration sur la réduction de Paris, et la fait enregistrer dans toutes les cours souveraines du royaume, 274. Rétablit le parlement de Paris dans sa première autorité, exigeant des officiers un nouveau serment de fidélité, 276. Fait rendre au parlement ainsi rétabli et réuni un arrêt solennel portant révocation de tout ce qui a été dit ou fait pendant les troubles de contraire à l’autorité légitime du Roi, 277. Va assiéger Laon en Picardie, 279. La force à capituler, 280. Maintient les jésuites attaqués par l’Université et par les curés de Paris, 284. Remet aux créanciers de l’État le tiers des cinq années passées dans les troubles, 286. Est blessé par Jean Chastel, 287. Fait une déclaration contre le roi d’Espagne, 293. Défait les troupes du connétable de Castille près de Saint-Seine, 295. Emporte La Fère, attaque les ennemis de tous côtés, 317. Convoque une assemblée de notables à Rouen ; fait son entrée dans cette ville ; son discours à l’assemblée, 319. Lève une armée pour assiéger Amiens, 326. Poursuit le siége commencé par Biron, 327. S’empare de la ville par composition ; y met une forte garnison et la fortifie, 330. Accorde au duc de Mercœur un édit d’abolition, et donne à sa fille en mariage César Monsieur, son fils naturel, 336. Refuse de céder aux sollicitations des ambassadeurs de la reine d’Angleterre et des États de Hollande, qui veulent le détourner de faire la paix avec l’Espagne, 342. Reçoit les ambassadeurs de l’archiduc, et prête devant eux le serment de l’entretien inviolable de la paix conclue à Vervins, 344. Cérémonies à cette occasion, 345. Publie une déclaration portant défense du port d’armes à feu, 346. Interpose son autorité pour empêcher l’effet d’un arrêt du parlement rendu contre le sénéchal d’Auvergne, qui n’a pas voulu chasser les jésuites de la ville de Tournon, 347. Conclut le mariage de Cather. de Navarre sa sœur avec le duc de Bar, 370. Comment il fait célébrer d’autorité ce mariage dans son cabinet, en présence des principaux de sa cour, 374. Il persiste dans son édit de Nantes en faveur des protestans, 377. Le fait enregistrer dans les cours souveraines, 378. Projette de faire casser son mariage pour épouser Gabrielle d’Estrées, que la mort lui enlève subitement, 382. Il en porte le deuil et le fait porter à sa cour, 386. Essaie en vain d’être médiateur entre l’Angleterre et la Hollande, 392. Forme une nouvelle inclination pour madem. d’Entragues ; poursuit auprès de la cour de Rome la dissolution de son mariage, dans le dessein d’épouser Marie