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d’Henri IV, XXIII, 411 et suiv. Éloge et critique de ce prince, XXIV, 166. Pronostic sur son règne, XXV, 378. Son administration ; sa politique à l’égard des grands, des huguenots et de l’Espagne, 385. (Tavannes.) — Son mariage avec Marguer. de Valois, XXXIV, 64 (Mém. de Mergey.) — Il est arrêté, XXXV, 116. Abjure à Saumur la religion catholique, qu’il a embrassée de force à la S.-Barthelemy, 153. Tient une assemblée à Auvilar, dans laquelle il est décidé qu’on enverra à l’assemblée de Saumur des députés du corps de la nouvelle religion, 155. Retourne à Agen, 156. Dans son entrevue à Auch avec Cather. de Médicis, il se plaint à cette princesse de la prise de La Réole, 176. Invite le prince de Condé, M. de Montmorency et les principaux seigneurs du parti à se réunir à Castres ; opinions diverses qui y sont émises sur la résolution qu’on doit prendre, 210. Il est décidé qu’on attendra ce que le Roi et la Ligue feront, et que chacun se préparera à se mettre en campagne, 211. Inquiétudes du roi de Navarre en apprenant le traité du Roi avec le duc de Guise, 212. Donne des ordres pour faire des levées, 213. (Mém. du duc de Bouillon.) — Prend plusieurs petites places aux environs de Montauban ; va en Béarn pour voir la comtesse de Guiche, 222. Met en fuite la cavalerie espagnole à Fontaine-Française, et soumet la Bourgogne, 408. (Mém. de Tavannes.)

Il quitte secrètement la cour de Henri III, et se retire en Béarn, XXXVI, 73. Est sommé par le Roi de se conformer à l’acte d’association, 74. Gagne la bataille de Coutras, 97. Vient trouver le Roi à Tours, et se lie avec lui contre les ligueurs, 135. Fait transporter le corps de Henri III à Compiègne, 147. Est salué et reconnu par toute l’armée pour roi légitime ; va en Normandie, 148. Bat le duc de Mayenne dans les plaines d’Arques ; revient sur Paris, se saisit des faubourgs, tue 7 ou 800 hommes aux Parisiens, 149. S’empare de plusieurs places de la Normandie ; gagne la bataille d’Ivry, 150. Se rend à Mantes, qui lui jure obéissance ; faute qu’il commet en ne marchant pas droit à Paris, 152. Assiége la ville de Sens ; revient sur Paris, 153. Coupe les communications du côté de la Seine ; canonne la ville des hauteurs de Montmartre et de Montfaucon, 154. Entretient des intelligences dans la ville, 159. Brûle tous les moulins des environs, s’empare de tous les faubourgs, 160. Rompt brusquement la conférence qu’il a accordée au cardinal de Gondi et à l’archevêque de Lyon ; pourquoi ; assiége Saint-Denis, qui capitule et se soumet, 162. Écrit à M. de Cheverny pour le presser de se rendre auprès de lui et de venir l’aider de ses conseils, 163. Donne un sauf-conduit au cardinal de Gondi et à l’archevêque de Lyon pour aller proposer au duc de Mayenne un projet d’accommodement ; lève le siége de Paris, 177. Envoie demander la bataille aux ducs de Parme et de Mayenne ; réponse hautaine du prince de Parme, 178. Tient un conseil de tous les princes, dans lequel il est décidé qu’il séparera son armée, et munira de bonnes garnisons toutes les places des environs de Paris, 181. Envoie dans différentes provinces les principaux seigneurs de son armée, 182. Harcelle le duc de Parme dans sa retraite vers l’Artois ; reprend Corbeil, 183. Fait de nouvelles tentatives sur Paris, 185. Assiége et prend Chartres, après avoir perdu beaucoup de monde, 189. Rend à Mantes un édit qui remet en vigueur les anciens édits de pacification ; publie des lettres patentes par lesquelles il déclare qu’il veut maintenir la religion catholique et défendre les priviléges de l’Église gallicane, 195. Se décide à assiéger Noyon, 196. S’en rend maître par capitulation, 199. Se décide à assiéger Rouen, 203. Somme la place de se rendre ;