Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/28

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

dovic Sforce, est arrêté par les Vénitiens, XIV, 443. Est livré par eux au lieuten. général de La Trémouille, et conduit à Lyon, 444 ; XV, 38.

Ascot (le duc d’) est fait prisonnier dans une rencontre où les Impériaux sont battus, XXIV, 112 ; XXXI, 209.

Aspremont (Gaub. d’) et ses frères se croisent avec le Roi, II, 203.

Assan (le bacha) surprend et taille en pièces les Transylvaniens, sortis de la ville de Lippe, XLIII, 313. Fait le siége de cette ville, qu’il est obligé d’abandonner après une grande perte, 314.

Assemblées solennelles des rois de France ; nom qu’elles eurent dans les premiers temps de la monarchie, III, 75. Pourquoi elles en changèrent par la suite, 77. Époques de ces assemblées ; de quoi on y traitoit ; différence qu’il y avoit entre celles qui se tenoient au commencement de l’année et celles qui avoient lieu vers la fin, 86. Les anciens Anglais paroissent avoir emprunté des Français l’usage de ces assemblées, 87. Autorités qui le prouvent, 88.

Assier (le seign. d’) est tué à la bataille de Cérisolles, XIX, 508 ; XXI, 31.

Astier, augustin, un des principaux complices de la conjuration dressée pour livrer Béziers aux Espagnols, obtient sa grâce du Roi, XLVIII, 46.

Astrologues. En grand crédit du temps de Charles V ; étoient consultés sur les diverses entreprises qu’on projetoit, V, 207. Les princes et les seigneurs en avoient à leurs gages comme les souverains ; exemples cités, 209. (Notice.) — On attribue à des astrologues la facilité qu’eut le duc d’Anjou de découvrir le trésor de Charles-le-Sage, VI, 182. Simon de Phares, astrologue de Charles VIII, cité à ce sujet, 183. (Tab. du règ. de Ch. vi).

Aubecote (Garnier d’) seconde le captal de Buc à la bataille de Navarette, IV, 410.

Aubecote (Othon d’), frère du précédent, seconde le captal de Buc à la bataille de Navarette, IV, 410.

Aubericourt (Nicolas d’) seconde le duc de Lancastre dans le premier corps d’armée à la bataille de Navarette, IV, 410.

Aubert (Pierre), bailli de Melun, commandant d’une partie de la garnison de Roye, rend cette place au duc de Bourgogne ; noms des autres capitaines qui se rendent avec lui, XIII, 417.

Aubert, avocat du Roi en la cour des aides, va trouver le prevôt des marchands avec 80 ou 100 personnes pour demander l’exécution et publication de la trève ; ils repoussent vivement une troupe des Seize qui crient après eux, XLVI, 425.

Auberty (Journal d’), ouvrage insuffisant pour remplir la lacune de Mémoires qui existe entre le règne de Louis IX et celui de Charles V ; d’où vient cette insuffisance, IV, 3.

Aubespine (Sébast. de L’), évêque de Limoges, est envoyé en ambassade en Suisse avec le maréchal de Vieilleville, XXVIII, 281.

Aubeterre (le vicomte d’), soupçonné d’avoir favorisé l’évasion du roi de Navarre à Caumont, XXXVIII, 298.

Aubeterre (Jacq. Esparbès, vicomte d’), meurt à la fleur de l’âge, de maladies pestilentielles et pourprées fort répandues, XLVII, 171.

Aubeterre, chevalier de Malte, est condamné à avoir la tête tranchée, son corps brûlé et réduit en cendres, XLIX, 210. En appelle, et est banni seulement, 212.

Aubeterre (Franc. d’Esparbès, vicomte d’), gouverneur de Blaye, est ôté de cette place pour être resté neutre entre le parti du Roi et celui de la Reine mère ; cependant est fait maréchal de France, L, 492.

Aubigny (Baudouin d’) arrive dans le port de Constantinople après la bataille d’Andrinople, et refuse à Conon de Béthune de demeurer, I, 366. Se rend à Rodosto, où il refuse également de rester, 368.