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ricades ; il y fait voir quelle a été la conduite du duc de Guise, et comment il a lui-même été obligé de quitter la capitale, 365. Jugemens portés dans le public sur ces lettres, 371. Il envoie en Guyenne le duc d’Épernon, et donne le gouvernement de la Normandie au duc de Montpensier, 380. Reçoit les députés des Seize et répond à leur requête, 382. Reçoit aussi les députés du parlement et répond à leur harangue, 388. Il signe l’édit de réunion ; texte de ce traité, 397. Articles secrets, 399. Communique ses faveurs au cardinal de Bourbon, aux ducs de Guise et de Nemours, pour les engager à abandonner leurs ligues et associations ; déclare par lettres patentes le cardinal de Bourbon le plus proche parent de son sang ; les fait vérifier au parlement de Paris, 404. Par d’autres lettres patentes, donne au duc de Guise pouvoir de commander en son absence toutes les armées, 405. Cherche à gagner tous les chefs de la Ligue, 406. Nomme le duc de Nevers son lieutenant général à l’armée du Poitou, 407. Nonobstant les prières de l’ambassadeur d’Espagne et l’opinion des partisans de la Ligue, il rend la liberté aux forçats d’une galère espagnole échouée sur la côte de Dieppe, 409. Malgré les avis qu’on lui donne des contraventions des princes de la Ligue à l’édit de réunion, il change tout son ministère d’après leurs remontrances, 424. Obtient du clergé 500,000 écus, dont il donne 200 au duc de Mayenne pour l’armée du Dauphiné qu’il doit commander, et les 300 autres à M. de Nevers pour l’armée du Poitou, 426. Fait préparer au château de Blois la salle où doivent se tenir les États ; fait l’ouverture de ces États par une procession générale, 431. Détails sur la première séance des trois ordres, 431. Discours du Roi, 435. Dans la seconde séance, il jure et fait jurer aux membres des États l’observation de l’édit d’union, 441. Envoie réclamer la restitution du marquisat dont le duc de Savoie s’est emparé par surprise, 445. Répond par écrit aux prétentions des États, 454. Motifs qui l’animent contre le duc de Guise, 457. Sur un avis secret il se décide à s’assurer de lui, 458. Entretien qu’il a avec lui à l’issue de vêpres, 459. Il se décide à le faire mourir, 461. Divers récits sur l’exécution de ce dessein, 463. Il fait arrêter tous les princes de la Ligue qui sont logés au château, 470 ; les députés de la ville de Paris, et quelques seigneurs intimes du duc, 472. Fait tuer le cardinal son frère, 475. Rend la liberté à la duchesse de Nemours, et l’envoie à Paris, ainsi que les échevins Compan et Cotte-Blanche, pour y apaiser les troubles ; publie une déclaration sur la mort du duc et du cardinal de Guise, XXXIX, 6. Fait rendre les derniers devoirs à sa mère Catherine de Médicis, 15. Congédie les États ; confie à la garde du sieur Du Guast les prisonniers qu’il a faits à Blois, 32. Fait deux voyages à Amboise à leur occasion, 33. Publie deux déclarations, l’une contre le duc de Mayenne, l’autre contre la ville de Paris, 35. Reçoit à Blois plusieurs princes et seigneurs qui viennent se ranger auprès de lui, 40. Arrête avec son conseil d’aller à Bourges, et de là à Moulins, 41. Se rend à Tours, 66. Négocie avec le duc de Mayenne et le roi de Navarre, 91. Publie l’édit qui transfère à Tours la cour du parlement de Paris et la chambre des comptes, 93. Présages observés à cette occasion par Étienne Pasquier, 94. Le Roi établit à Châlons une section du parlement de Paris transféré à Tours ; veut être arbitre des différends élevés entre le duc de Lorraine et mademoiselle de Bouillon, 107. Envoie le légat Morosini auprès du duc de Mayenne, 108. Propositions dont il le charge pour arriver à un accommodement, 109. Accorde au roi de Navarre la ville et le pont de Saumur, 112. Publie deux déclarations, l’une