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connoissance de son passage sur la Charente, 442. Se prépare à livrer combat, 443. Premières approches, 444. Détails, 445. Après la victoire se retire à Jarnac, 448. Assiége Châtellerault, 471. Apprenant que les huguenots ont levé le siége de Poitiers comme il l’a espéré, il fait entrer des secours dans cette ville, 474. Évite habilement d’en venir à une bataille avec l’amiral ; repasse la Vienne avec de nouveaux renforts, et se rend près de Montcontour, 476. Fait ses dispositions pour livrer combat, 479. Détails sur cette bataille, 481. Le duc reste vainqueur, 483. Assiége S.-Jean-d’Angely, 486. (Castelnau.) — Après la bataille de Montcontour, il tient conseil avec les principaux capitaines ; avis divers qui y sont ouverts, XXXIV, 275. Se rend maître par composition de S.-Jean-d’Angely, 277. (La Noue.) — En sa qualité de comte de Forez, il décharge la ville d’Annonay de la garnison du capitaine Praulx, et met à sa place le capitaine Lagarenne, 313. (Mém. de Gamon.)

Sa répugnance pour aller prendre possession du trône de Pologne, XXXV, 93. Revient en France ; attaque Livron, 122. (Mém. de Bouillon.) — Va commander l’armée catholique en Poitou, 250. Détails sur ses opérations militaires jusqu’à la bataille de Jarnac, 252 et suiv. Après la victoire qu’il y remporte, se loge dans cette ville, 288. Assiége et prend Mussidan, 292. Traverse le Limosin pour s’opposer au duc de Deux-Ponts, 294. (Tavannes.) — Déclare qu’il n’a point d’affection pour le mariage qui lui est proposé avec la reine d’Angleterre, et y fait renoncer le roi Charles IX, XXXVI, 47. Détails sur la cérémonie de son élection au trône de Pologne, 51. Fait son entrée solennelle à Paris ; fêtes à cette occasion ; part pour la Pologne, 53. Détail sur la réception que lui fait l’électeur palatin, 56. Revient en France par l’Italie, 63. Son séjour à Lyon, 65. Son mariage avec mademoiselle de Vaudemont, 70. Tient sur les fonts de baptême avec la Reine sa mère le second fils de Cheverny, 71. Convoque les États à Blois ; publie l’acte d’association, 74. Institue l’ordre du S.-Esprit, 79. Fait des réglemens pour son conseil, 91. Lève cinq armées en France, 94. Part de Paris pour aller s’opposer aux troupes étrangères, 97. Pourvoit à la sûreté de la capitale, 98. Négocie et opère la retraite des reîtres, 100. Revient à Paris, où il est reçu aux applaudissemens du peuple ; licencie son armée, 102. Fait entrer dans la ville 4,000 Suisses et le régiment de ses gardes, pour assurer la tranquillité et se mettre en défense contre les projets du duc de Guise, 106. Sort de Paris pour se soustraire à la fureur populaire, 109. Se retire à S.-Germain-en-Laye ; envoie Pinard vers la Reine mère pour l’engager à tout pacifier avec le duc de Guise, 110. Arrive à Chartres, où il est reçu avec alégresse, 111. S’assure de Melun, Corbeil, Mantes, et se rend à Rouen ; publie un nouvel édit de réunion ; retourne à Chartres, où le cardinal de Bourbon et le duc de Guise viennent le trouver, 112. Convoque les États généraux à Blois, et se rend dans cette ville, 113. Écrit à tous ses ministres de se retirer chacun chez soi, 114. Est forcé par les États de renvoyer les sieurs d’O, de Chenailles et Miron, son premier médecin, 119. Fait tuer le duc de Guise, et arrêter le cardinal de Guise et l’archevêque de Lyon, le cardinal de Bourbon, madame de Nemours, les princes de Joinville, d’Elbœuf et de Nemours, 121. Fait tuer le cardinal de Guise, 123. Appelle auprès de lui le duc de Nevers pour l’opposer au duc de Mayenne, 134. Réuni au roi de Navarre, il prend la route de Paris, et vient camper à Saint-Cloud, 136. Est assassiné par Jacques Clément ; reconnoît avant de mourir le roi de Navarre pour son successeur légitime et naturel ; recommande à tous