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du pays ; fait conduire le jeune duc à Reims, 63. Arrive près de Metz, où l’armée le reçoit en ordre de bataille ; ordre de cette armée, 64. Fait son entrée dans Metz ; détails sur cette entrée, 69. Donne des ordres pour le réglement de cette ville et pour ses fortifications ; en nomme gouverneur M. de Cossé-Gonnor, 72. Son départ de Metz ; marche de l’armée, 73. Détails sur les divers campemens de cette armée, 75. Description des villes par où elle passe, 80. Sur la nouvelle que le duc Maurice ne peut accomplir ses promesses, le Roi revient en France avec son armée, qu’il partage en trois corps, 88. De l’avis de son conseil, projette de réunir le duché de Luxembourg à la couronne, 96. Fait assiéger le château de Rodembach, qui est pris d’assaut, 97. En fait don au comte Rhingrave, colonel allemand ; saccage et brûle la petite ville de Mont-Saint-Jean, 100. Reçoit à discrétion la place de Damvilliers, 103. Emporte d’assaut le château de Trelon, 121 ; et la ville et le château de Chimay, qui sont brûlés, 122. Envoie le duc de Guise pour défendre Metz, 125. Rassemble les principaux chefs de son armée pour recouvrer le château de Hesdin, 158. Fait rendre à Dieu de solennelles actions de grâces de la levée du siège de Metz, 181. Sa douleur en apprenant la prise de Térouenne par les Impériaux, 200. Publie l’arrière-ban dans tout le royaume ; rassemble une armée à Amiens, 201. Passe en revue cette armée près de Corbie ; noms des seigneurs qui en sont les chefs, 212. Fait sommer deux fois la ville de Cambray de se rendre, 219. Escarmouches livrées devant cette place, 222. Le Roi va loger près de Cateau-Cambresis, dans une maison de plaisance appartenant à l’evêque de Cambray, 226. Ordre de bataille au-dessous du Quesnoy, 228. Détails d’un combat qui s’y livre par ordre du connétable, 232. Le Roi réunit de nouveau son armée en Picardie, où il la partage en trois corps, 241. Marche de ces trois corps d’armée, 242. Il les passe en revue près de Givet, 254. Prend d’assaut la place de Bouvines, 255. Sauve les filles et les enfans de la fureur du soldat, 256. Assiége Dinant, 257. Fait rendre les femmes de cette ville enlevées par les soldats allemands, 260. Se décide à entrer dans le Hainaut, 266. Son armée passe la Sambre, 267. Ruine le pays ; le Roi tient sur les fonts de baptême l’enfant d’une pauvre femme du village de Jametz, 268. Campe autour de la ville de Bains, 269. Détruit la magnifique habitation de Marimont et le château de Trageny, 270. S’empare de la ville de Bains ; fait mettre le feu au château de Reux, 271. Campe en deçà du Quesnoy, 273. Passe la revue de son armée entre Crèvecœur et Cambray, 278. Suite de la marche de l’armée, 280. Siége du château de Renti, 282. Dispositions faites pour livrer bataille à l’armée de l’Empereur, 285. Détails sur cette bataille ; noms des seigneurs et capitaines qui s’y distinguent, ou qui y sont tués ou blessés, 288. La victoire reste aux Français ; le Roi récompense les ducs de Guise, de Nevers, de Bouillon, et le sieur de Tavannes, 292. Se retire près de Montreuil, 295. Fait de nouveaux préparatifs de guerre, 334. S’avance avec toute sa maison jusques à Villers-Cotterets, 364. Conclut une trève de cinq ans avec l’Empereur et Philippe II son fils, 419. Promet au cardinal Caraffe de porter des secours, au Pape, 426. Écrit au roi Philippe II en sa faveur, 427. Sur les nouvelles qu’il reçoit d’Italie des entreprises des ducs d’Albe et de Florence, il lève une armée qu’il envoie à Rome sous le commandement de M. de Guise, 429. Des principales causes de la rupture de la trève, 430. Ordres envoyés par le Roi dans toutes les provinces après la bataille de S.-Quentin, XXXII, 67. Convoque les États à Paris ; son discours à cette assemblée ; deman-