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sade du roi d’Angleterre ; détails sur cette ambassade, 333. Envoie le rhingrave au devant des ambassadeurs des princes d’Allemagne, 351. Leur donne audience, 370. Tient conseil sur leurs propositions, 371. Remercie M. de Vieilleville de l’avis qu’il lui donne, 386. Déclare à son conseil qu’il est résolu à le suivre, et dispose de l’état de son armée, 387. Donne à dîner aux ambassadeurs ; détails sur ce dîner, 396. Leur fait distribuer de riches présens à leur départ, 399. Assemble une grande armée, 400. Entre dans Metz, 405 ; puis en Alsace, 412. Se décide, d’après l’avis de M. de Vieilleville, de ne pas entrer dans Strasbourg, comme le lui a conseillé le connétable, 421. Campe devant Haguenau, 422. Y est reçu avec honneur, 423, ainsi qu’à Wissembourg, 424. Donne mille écus aux filles de cinq de ses capitaines livrés à l’Empereur, qui les a fait mourir à Ausbourg, 425. D’après la lettre du duc Maurice qui lui annonce qu’il s’est accommodé avec l’Empereur, le Roi reprend le chemin de la France, 438. Accorde à M. de Vieilleville la moitié des présens envoyés par la chambre de Spire, 442. Se rend maître de Damvilliers, 454. Reçoit la ville d’Ivoy à composition, 457. Apaise une mutinerie excitée à l’occasion du pillage exercé dans cette ville, 460. Tombe malade à Sedan ; s’empare de plusieurs forts, 469. Licencie son armée, 472. Sur les instances du cardinal de Lorraine se rend au parlement, où il fait arrêter six conseillers connus par leur attachement à la doctrine de Luther, XXVII, 405. Entre en lice dans un tournoi, et rompt plusieurs lances, 411. Est blessé par Montgommery, 415. Fait célébrer le mariage de sa sœur, et signer à la Reine le brevet de maréchal de France de M. de Vieilleville, 416. Sa mort, 417. Deuil à la cour, 418. (Vieilleville.)

Il prend sous sa protection le duc de Parme ; à quelles conditions, XXVIII, 382. Envoie le seigneur de Lansac et le président Du Ferrier protester contre l’assemblée du concile de Trente, 425. Pénètre les desseins de l’Empereur, et les fait échouer en les publiant, XXIX, 30. Obtient malgré tous ses efforts tout ce qu’il demande des Suisses, 32. Fait publier en Angleterre, en Allemagne et en Italie la justice de sa cause, et l’injuste agression de l’Empereur et du Pape, 35. Il consent à faire la paix avec le Souverain Pontife ; particularités sur cette paix, 123. État des forces qu’il réunit pour aller en Allemagne au secours des princes confédérés, 215. Mauvais succès de cette entreprise causé par l’abandon des princes ; le Roi fait fortifier la ville de Metz, rentre en France, 225. Soumet plusieurs places du duché de Bouillon, 226. (Du Villars.) — Prend sous sa protection Octave Farnèse, XXXI, 20. Défend d’envoyer à Rome or ni argent monnoyé ou non monnoyé pour bulles, dispenses, etc., 21. Envoie le sieur de Montluc auprès du Pape ; puis le duc Horace Farnèse et les sieurs de Termes, d’Andelot et Cipierre avec des troupes pour secourir le duc Octave ; commande au maréchal de Brissac de marcher contre Fernand de Gonzague pour le forcer à lever le siége de Parme et de La Mirandole, 22. Envoie l’ordre à tous les gouverneurs et capitaines de ses forteresses de se rendre à leurs places, 29. Reçoit le titre de protecteur du Saint-Empire ; et après avoir tout réglé dans son royaume, il part pour aller au secours des princes d’Allemagne, 53. État des forces qu’il réunit en Champagne, 54. Le Roi se rend à Joinville, où il reçoit la duchesse douairière de Lorraine et son fils, 57. Fait son entrée à Toul, accompagné d’une suite brillante et nombreuse, 61. Y établit pour gouverneur le chevalier d’Esclavolles, 62. Se rend à Nancy, où il est reçu par le jeune duc de Lorraine ; établit le comte de Vaudemont gouverneur