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XLII, 336. Rétablit la paix en Provence, XLIII, 201. Comment il devient maître de Marseille, et la range sous l’obéissance du Roi, 207 et suiv. (Mém. de Cayet.) — S’échappe du château de Tours, XLIV, 235. (Villeroy.) — XLVI, 175. Il écrit aux États qu’il va se joindre à eux après qu’il aura livré combat à M. de Nevers, 380. Les Espagnols, les prédicateurs et les Seize favorisent son élection au trône, 459. Il menace de faire mourir le premier qui l’appellera roi, 463. Fait son accord avec Henri IV, et vient à Paris, XLVII, 115. Accueil que lui fait le Roi, 116. Réduit la ville de Marseille sous l’obéissance de S. M., 162. Vers faits contre lui à l’occasion de la prise de Calais par le cardinal d’Autriche, 165. Tue à coups d’arquebuse une lionne qui a étranglé un de ses laquais, XLVIII, 112. Fait de solennelles protestations devant le parlement de son affection sincère au bien de l’État, XLIX, 5. Conseille à la Reine de donner ordre à la porte S.-Antoine, afin qu’il n’y advienne quelque tumulte, 9. Paroles que lui adresse une femme du peuple sur ses salutations, 60. Épouse madame de Montpensier, fille de Henri de Joyeuse, 169. (L’Estoile.) — Vient au parlement, après la mort du Roi, protester de son dévouement au service de l’État, 251. (Relat. de Gillot.) — Se déclare du parti du Roi, et conserve un grand crédit, étant aidé par M. et mad. de Conti, L, 119. Épouse mad. de Montpensier, 129. Comment les difficultés qui se présentent à ce mariage sont aplanies, 130. Est nommé pour commander l’armée qui doit suivre le Roi à Bordeaux, 289. Épouse au nom du Roi l’infante d’Espagne à Burgos, 315. L’amène en France, 316. Contraint M. le prince à se retirer dans les villes huguenotes, 322. Danger qu’il court par l’écroulement d’un plancher, 329. Va joindre les princes retirés à Soissons après la détention de M. le prince de Condé, 354. Revient à la cour avec le prince de Joinville, 358. Prend plusieurs places du Rethelois, et s’avance sur la Meuse pour s’opposer au passage de 1,200 reîtres, 372. Bat l’armée navale des Rochellois, et reste maître du champ de bataille, 548. Se déclare ouvertement contre le cardinal de Richelieu ; pourquoi, LI, 168. (Fontenay-Mareuil.)

Guise (Jean), cardinal de Lorraine, frère du duc Claude, est éloigné de la cour ; il prépare l’élévation de sa famille par ses libéralités excessives ; ses nombreux bénéfices, XVII, 161. (Introd.) — Est envoyé en Italie auprès de l’Empereur, XVIII, 362. Accord qu’il fait avec Ant. de Lève, commandant des troupes allemandes, 367. Arrive auprès de l’Empereur, 370. Propositions qu’il lui fait au nom du Roi ; comment elles sont reçues par l’Empereur, 371. Seconde conférence ; comment elle se termine, 374. Remontrances du cardinal au Saint-Père sur la conduite de Charles-Quint, 405. Nouvelle et dernière conférence avec l’Empereur, 416. Revient en France rendre compte au Roi de l’inutilité de sa négociation, 418. Est choisi pour annoncer au Roi la nouvelle de la mort du Dauphin, XIX, 80. (Du Bellay.)

Guise (Alex.), fils posthume du duc Henri de Guise, est tenu sur les fonts par la ville de Paris et par la duchesse d’Aumale ; magnifique cérémonie à cette occasion, XLV, 391. (Mém. de L’Estoile.) — Tue en duel le baron de Lux, L, 204 ; et son fils dans un autre combat où il est lui-même légèrement blessé, 207. Détails curieux sur ce duel, 208. La Reine lui donne la lieutenance de roi de Provence, 209. Meurt d’un éclat de canon, 248. (Fontenay-Mareuil.)

Guise (madem. de) tombe malade d’une maladie de galanterie ; vers faits sur elle, XLVII, 174.

Guise (madame de) dit au curé