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puis une trève avec le duc de Bouillon, XXXVIII, 317. Vient trouver le Roi à Meaux pour se plaindre de plusieurs choses qu’il dit avoir été faites contre l’édit et l’accord de Nemours, 318. De concert avec le duc de Mayenne, il attaque les reîtres à Vimory, les bat, mais perd beaucoup de monde, 338. Tente contre eux une double entreprise qui ne réussit point, 339. En tente une nouvelle qui réussit et relève son courage, 340. Il poursuit les reîtres jusqu’aux montagnes de S.-Claude, 342. Vient à Paris malgré le Roi ; comment il y est reçu par la Reine et par le peuple, 351. Refuse d’apaiser le trouble causé par les barricades ; sa réponse à la Reine mère, 356. Après la sortie du Roi de Paris, il se rend au Palais, fait cesser le trouble ; est obéi des Seize et du peuple, 357. Publie des lettres dans lesquelles il se justifie de la journée des Barricades, 361. En adresse une particulière au Roi, 362. Jugemens portés dans le public sur ces lettres, 378. Il assemble des forces à Paris, 380. Signe avec les deux Reines et le cardinal de Bourbon un traité en 32 articles, connu sous le nom d’édit de réunion, 396. Favorise les prétentions de Balagny sur la principauté du Cambresis ; conclut un traité avec lui, 420. Fait supprimer à l’impression un passage du discours du Roi à l’ouverture des États de Blois, dans lequel lui et les princes de la Ligue étoient accusés, 440. Détourne le Roi de faire la guerre au duc de Savoie, qui s’est emparé du marquisat de Saluces, 448. Sa mort ; divers récits à ce sujet, 463. Ses qualités, 476. (Mém. de Cayet.) — Il remercie le Roi du pouvoir qu’il lui donne, ne lui demandant que l’assurance de sa bonne grâce, XLIV, 73. Sa modération à l’égard du duc d’Épernon, 75. (Villeroy.) — Est blessé près de Fismes dans un combat que lui livre Thoré de Montmorency, XLV, 122. Prend hautement la défense du jeune d’Entragues, menacé de la mort pour son combat avec Quélus et Maugiron, 169. Demande à messieurs de la Sorbonne s’ils sont assez forts avec la plume ; sinon qu’il le faut être avec l’épée, 285. S’empare de Châlons-sur-Marne, 289. Sort de Paris pour aller à Châlons, où il s’occupe de ruiner l’autorité du Roi, 311. Défait les reîtres à Vimory et au bourg d’Auneau ; épitaphe sur cette victoire dans l’église de Saint-Claude, 341. Fait un voyage à Rome déguisé ; reçoit du Pape une épée gravée de flammes, et les armes du prince de Parme, 346. Vient à Paris contre l’ordre du Roi, 359. Traverse les rues aux cris de vive Guise ! 360. Établit pour gouverneur de la Bastille J. Leclerc, procureur au parlement ; offre une sauve-garde à l’ambassadeur d’Angleterre ; curieux entretien du comte de Brissac et de l’ambassadeur à ce sujet, 361. Vers faits sur le jeu de prime, auquel le duc jouoit souvent, 362. Est tué par ordre du Roi, 376. Son corps est mis en pièces, puis brûlé et réduit en cendres, 378. Détails donnés sur cette mort par Miron, médecin du Roi, 448 et suiv. (Mém. de L’Estoile.) — Vient à Paris malgré la défense du Roi ; comment il est reçu par le peuple, par la Reine mère et par le Roi, XLIX, 288. Prend la résolution de faire faire des barricades, 290. (Groulard.)

Guise (Ch. de Lorraine, duc de), fils de Henri de Guise, gardé avec soin dans le château de Tours depuis la mort de son père le Balafré, parvient à s’échapper ; par quel moyen, XX, 251. Se rend à l’armée de la Ligue, 252. (Introd.) — XXXVI, 196. Se soumet à Henri IV ; réduit la Provence ; en est nommé gouverneur, 283. Reçoit à Marseille Marguerite d’Autriche et l’archiduc Albert allant en Espagne, 366. (Cheverny.) — Détails sur son évasion du château de Tours, XL, 285 et suiv. Il est reçu à Bourges par La Chastre, 288. Fait sa soumission au Roi, et lui remet la ville de Reims,