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emporté d’un coup de canon, 319. Ordonne de nouvelles dispositions pour la défense de la ville, après l’arrivée de l’Empereur à son camp, 338. Son activité et ses soins à faire réparer les brèches faites par les batteries ennemies, 342. Il prend de nouvelles mesures pour assurer l’approvisionnement de la place tout le temps que pourra durer le siége, 355. Fait battre de la monnoie au nom du Roi pour la solde des troupes, 357. Retient prisonnier un trompette envoyé par le marq. Albert, qui a retenu le premier un de ses trompettes, 367. Comment il pourvoit à la sûreté d’une tour de la ville appelée la tour d’Enfer, 373. Son humanité envers les soldats ennemis malades, et envers le seign. espagnol Roumero, 389. Fait faire une procession générale pour rendre grâce à Dieu de la levée du siége ; il y assiste avec tous les princes et seigneurs présens, 400. Fait brûler des livres contenant une doctrine réprouvée ; fait rentrer les habitans qui ont eu ordre de sortir ; rétablit l’ancienne police de la ville ; fait faire la montre générale aux gens de guerre, 401. Établit pour gouverneur le seign. de Gonnor, et s’en retourne auprès du Roi, 402. (Siége de Metz.) — Il est envoyé au secours du pape Paul IV ; état des forces qu’il conduit, 475. Manquant de tout et ne pouvant faire la guerre, départ son armée dans les garnisons et dans les terres de l’Église ; tombe malade, 477. Revenu auprès du Roi, il est chargé de la conduite des affaires de la guerre, 488. Supplie S. M. de lui permettre de tenter une entreprise sur Calais ; prend de force le pont de Nieulay, 489. Se rend maître du château de Calais, 490. Après la reddition de Calais, prend Guines, assiége Thionville, 491. Emporte une tour de la ville ; reçoit la place à composition, 492. (Mém. de La Chastre.) — Après la mort de Henri II, il dispose des affaires avec son frère le cardinal, XXXIII, 20. Son éloge, 21. Est pourvu de l’état de grand-maître : ce qui déplaît au connétable, et devient la cause des inimitiés entre les Guise et les Montmorency, 23. Sa prudence pour prévenir le complot des conjurés d’Amboise, 49. Il est nommé lieutenant général ; lettres patentes publiées à cet effet par le Roi, 52. Envoie le comte Rhingrave en Allemagne pour entretenir les princes dans l’alliance du Roi, et faire des levées de lansquenets, 98. Répond au discours de l’amiral touchant la garde nouvelle du Roi, 103. Fait changer le lieu désigné pour la tenue des États, et le fait fixer à Orléans, 110. Motifs de ce changement, 111. Vient à Paris ; joie du peuple à son entrée, 168. Prend la ville de Rouen, qui, contre ses ordres et ceux du Roi, est pillée et saccagée, 211. Décide lui seul du succès de la bataille de Dreux, 245. Va trouver le Roi et la cour à Rambouillet ; rend compte de la bataille, 251. Donne des éloges aux généraux amis et ennemis ; parle peu de lui-même, 252. Est nommé lieutenant général de l’armée en l’absence du connétable, 253. Prend Étampes et Pluviers, 254. Se dispose à faire le siége d’Orléans, 261. Se rend maître du faubourg de Portereau, 267. Assemble un conseil pour délibérer sur les propositions envoyées par le maréch. de Brissac, 268. Discours qu’il y tient pour les combattre, 269. Envoie au Roi sa résolution, 274. Est assassiné par Jean de Meré, dit Poltrot, 276. Meurt de ses blessures, 277. La ville de Paris lui fait des funérailles fort honorables, 279. (Castelnau.) — Se rend maître de Rouen, XXXIV, 161. Après la bataille de Dreux, vient camper devant Orléans, 180. Est tué par Poltrot, 184. (La Noue.) — Vers faits par les protestans et par les catholiques à son occasion, XLV, 58. (L’Estoile.) — Voyez l’art. Aumale (Franc. de Lorraine, duc d’).

Guise (Henri, duc de), fils de François, se renferme dans Poitiers,