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serment de fidélité au Roi, aux chanoines et échevins de la ville, 100. Vient au siége de Thionville, 350. Après des attaques inutiles, il remet à Vieilleville la conduite du siége, 354. S’oppose à ce que la ville soit rasée, 367. Fait raser Arlon, 369. À la mort de François II, se retire à Paris, où il forme une ligue pour abattre le parti des huguenots, 461. Gagne la bataille de Dreux, XXVIII, 61. Sa lettre au Roi pour lui demander à être autorisé à nommer un maréchal de France à la place de S.-André, 84. Réponse du Roi, qui lui annonce qu’il a nommé Vieilleville, 87. Lettre de félicitation qu’il écrit au maréch. de Vieilleville, 91. Il est déclaré lieutenant général du royaume, et se dispose à faire le siége d’Orléans, 92. (Vieilleville.) — Est nommé par le maréchal de Brissac, n’étant encore que duc d’Aumale, pour commander à sa place, XXIX, 530. Assiége Vulpian, qui capitule, 540. Assiége Montcalve, qui se rend, 545. Son départ pour l’Italie, XXX, 75. Belles paroles au Roi sur le traité de paix de Cateau-Cambresis, 267. Pouvoir donné à M. de Guise après la bataille de S.-Quentin, 477 et suiv. (Du Villars.) — Il est envoyé à Metz pour la défendre, XXXI, 125. Observe la marche de Charles-Quint, 141. Fait fortifier Verdun, 142. Son humanité envers les soldats de l’Empereur après la levée du siége de Metz, 178. Il fait rendre à Dieu de solennelles actions de grâces de la retraite de l’Empereur et de son armée, 181. Noms des seigneurs qui imitent son exemple, 182. Est envoyé en Italie, où il prend d’assaut Valence sur le Tésin, 430. Revenu auprès du Roi, il forme le projet de reprendre Calais ; marche en Picardie, XXXII, 139. Comment il trompe les ennemis ; attaque et prend le petit fort de Nieulay, 140. Fait attaquer en même temps les deux forts de Nieulay et Risban, et s’en rend maître, 142. Assiége et prend le château de Calais, 144. Reçoit la ville à composition ; articles de la capitulation, 147. Description de la place de Calais, 149. Investit la place de Guines, 151. Emporte la ville d’assaut, 155. Reçoit le château par capitulation ; articles de cette capitulation, 156. Fait raser et démolir la place, 157. Prend le château de Hames, 158. Commande une partie de l’armée au siége de Thionville, 178. Se rend maître d’Arlon, qui est ruinée et démantelée, 195. Éprouve une grande perte par le feu, 197. (Comm. de Rabutin.)

Envoyé pour défendre Metz, il passe par Toul, où il établit le meilleur ordre possible, 257. Comment il est reçu à Metz, 258. Fait faire des ouvrages pour la défense de la place, 259. Met lui-même la main à l’œuvre, ainsi que les seigneurs qui l’accompagnent, 260. Pourvoit par diverses ordonnances à l’approvisionnement, 261. Exerce les soldats de la garnison ; prend des mesures pour y maintenir le bon ordre et l’union ; détails sur les travaux qu’il ordonne, 264. Fait transférer dans des églises de la ville les reliques et cercueils des princes ensevelis dans l’abbaye de S.-Arnoul qu’il fait abattre, 269. Fait enlever tous les blés et abattre tous les moulins qui sont sur le chemin de l’Empereur, 276. Fournit la ville de provisions pour un an, 279. Fait revenir à Metz le capit. La Prade et la garnison de Rodembach qu’il commande, 285. Envoie plusieurs fois faire reconnoître l’armée de l’Empereur, qui s’approche de Metz, 287. Fait sortir de la ville toutes les personnes inutiles à sa défense, 300. Prend des mesures pour la tranquillité et la propreté de la ville, 301. Distribue les princes et capitaines dans les différens quartiers, 302. Dommages qu’éprouvent chaque jour les ennemis par les sorties qu’il ordonne, 304. Le duc envoie le seign. Thomas Delveche informer le Roi de l’état de la place, et lui fait donner le conseil d’attaquer la place de Hesdin, 317. Se trouve en danger d’être