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Rome, où il étoit bloqué par les troupes de Frédéric, 77. (Tabl. du règn. de S. Louis.)

Grégoire XI, pape, fait des efforts pour ménager un accommodement entre Charles V et Édouard II, IV, 156. (Précis des guerres ent. la Fr. et l’Angl.) — Meurt en 1377 ; sa naissance, son nom ; rétablit à Rome le Saint-Siége, VI, 102 (Christ. de Pisan.) — Devient odieux aux Romains, 174. (Tabl. du règn. de Ch. V.)

Grégoire XII, pape de Rome, paroît faire quelques efforts pour éteindre le schisme, VI, 264.

Grégoire XIII, pape, refuse d’approuver l’acte de la Ligue, XXXVIII, 261 ; XLV, 291.

Grégoire XIV, pape, partisan déclaré des Espagnols, lève des troupes contre Henri IV, et leur donne pour chef son neveu Hercule Sfondrate ; envoie en France, comme nonce extraordinaire, un évêque milanais, sujet de Philippe II, XX, 247. (Introd.) — Renouvelle la bulle d’excommunication lancée par Sixte V contre Henri IV et ses adhérens ; envoie au secours de la Ligue des troupes suisses et italiennes, XXXVI, 188. (Cheverny.) — Détails sur son intronisation, XL, 151. Bannit son parent Alphonse Piccolomini, 213. Marie Hercule Sfondrate avec la fille du prince de Massa ; se range du parti espagnol ; envoie en France un nonce pour faire publier un monitoire contre les princes, seigneurs, etc., qui suivent le parti du Roi, 216. Promet des secours d’hommes et d’argent à la Ligue, 217. Comment il est trompé par ses ministres, 218. Sa réponse à la lettre que lui ont adressée les ligueurs, 219. Il nomme son neveu général de l’armée qui doit aller en France, 230. Met toute l’Italie en armes, 231. (Mém. de Cayet.) Voir aussi pour plus de détails, XLV, 148. Il place solennellement la couronne ducale sur la tête de son neveu Sfondrate, et lui remet le bâton de général de l’armée qu’il envoie contre le roi de Navarre, 166. Sa mort ; il est grandement loué par les prédicateurs de la Ligue, 184. (L’Estoile.)

Gremian (le capit.), des environs de Montpellier, est tué au siége de cette ville, attaquée par les catholiques, XXXIV, 357.

Gremonville-l’Archant (Nicolas de), capit. des gardes du corps, est tué au siége de rouen, XLVI, 241. Épitaphe sur son mausolée, dressé par sa femme, 268.

Grenevelt (Richard), vice-amiral anglais, soutient seul pendant quinze heures un combat contre la flotte espagnole qui revient des Indes occidentales, XL, 423. Meurt des blessures qu’il y reçoit, 424.

Grignan (M. de), gouvern. de Provence, reçoit le comte d’Enghien dans son gouvernement, XXVI, 108. Lui propose une entreprise sur Nice, 110. Chagrin qu’il conçoit du mauvais succès de cette entreprise ; il appelle auprès de lui Vieilleville, et le prie de le faire excuser auprès de M. le comte d’Enghien, 115.

Grignan (le chev. de), servant de second dans le duel livré entre le chevalier de Guise et le fils du baron de Lux, est blessé, L, 207. Détails curieux sur ce duel, 208.

Grille (le capit.) entre dans Térouenne avec cent arquebusiers à cheval, malgré les ennemis qui l’assiégent, XXXI, 193.

Grille (le capit.), protestant, bat les catholiques devant S.-Gilles ; est défait par eux aux Arenasses, XXXIV, 358.

Grillon (Louis Breton de), colonel du régiment des Gardes, s’excuse avec brutalité en présence du Roi sur la sortie meurtrière des assiégés de Neufchâtel, XXXVII, 469. Modération du Roi à son égard, 470. (J. A. de Thou.) — Est blessé à la prise du faubourg de Saint-Symphorien près de Tours, XXXIX, 132. Rend la place de Honfleur par capitulation au duc