Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/227

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sur les légionnaires créés par le Roi, 241. François I sauve Landrecies, 322. Rappelle ses troupes du Piémont en France ; se défend, sans secours étrangers, contre l’Empereur, qui, au lieu d’assiéger Paris, assiége S.-Dizier, 372. Force ce prince à se retirer par Soissons ; traite de la paix, 373. Las de la guerre, consent à être trompé, 374. Réflexions sur les fautes commises par le Roi, par l’Empereur et les Anglais, dans cette dernière guerre, 378. Le Roi prépare une grande armée navale qui, sous la conduite d’Annebaut, ne fait rien, 385. Après la mort du duc d’Orléans conclut une paix honteuse, 391. Sa mort, son caractère, 407. (Mém. de Tavannes.)

Conclut avec l’Empereur une trève de dix ans, XXVI, 70. Se brouille avec le Dauphin ; causes de cette brouillerie, 71. Sa mort, 136. Son éloge, 137. Comparaison de ce prince avec Charlemagne, 141. En quoi ces princes diffèrent et se ressemblent, 142. Ce que François I a fait pour les lettres, 143. Ses dernières paroles au Dauphin au sujet de M. de Vieilleville, 146. (Mém. de Vieilleville.) — Est sacré à Reims ; triomphe des Suisses à Marignan ; conclut le concordat avec Léon X, XLV, 47. Ses paroles à ce sujet ; après de grandes menaces et jussions, il le fait enregistrer au parlement, 48. Comparaison de Louis XII et de François I, 51. (L’Estoile.)

François, dauphin, fils de François I, fait des vœux pour que la guerre se rallume ; s’attache à mademoiselle de L’Estrange, XVII, 116. Cause de sa mort prématurée, 136. Craintes et espérances que cette mort fait concevoir à la cour, 137.

François II monte sur le trône à l’âge de 16 ans, XX, 85. Il déclare aux députés du parlement qu’il a donné la charge de toutes choses au cardinal de Lorraine et au duc de Guise, 86. Sa mort, 93. (Introd.) — Met les Guise en crédit ; annonce au connétable la perte de sa faveur, XXIV, 256. Sa mort imprévue change tout le gouvernement, 292. (Tavannes.) — Il commande qu’on fasse le procès aux conseillers du parlement de Paris arrêtés par Henri II ; publie des édits contre les assemblées secrètes des protestans, XXXIII, 27. Fait son entrée à Orléans, où doivent se tenir les États, 111. Sa mort, 120. Le dessein des Guise échoue par cette mort, 121. (Mém. de Castelnau.) — Meurt à Orléans d’un mal d’oreille, XLV, 53. Vers faits sur lui, 54. (L’Estoile.)

François I, duc de Bretagne, contribue, avec le duc de Bourgogne, à la rançon de son frère Arthur de Richemont, VIII, 112. Détails sur la querelle élevée entre lui et son frère Gilles, 536. Fait mourir ce seigneur, 550.

François II, duc de Bretagne, entre dans la ligue dite du Bien public, X, 235. Se met en marche pour aller, à S.-Denis, joindre le comte de Charolais, 236. Se retire en Normandie après la paix, 249 ; puis en Bretagne, 251. (Mém. de La Marche.) — Se lie avec le comte de Charolais ; vient à la cour avec une brillante escorte, mais n’y trouve plus le comte ; son caractère, XI, 238. Ses vues en s’unissant avec la maison de Bourgogne, 239. Essaie en vain de détourner Louis XI d’aller en Bretagne, 242. Fait manquer l’entreprise formée contre Françoise d’Amboise, veuve de Pierre II, duc de Bretagne, 243. Menacé d’une invasion subite par Louis XI, le trompe par de fausses promesses ; refuse ensuite de reconnoître le comte du Maine comme juge de ses différends avec le Roi, 260. Fait refuser l’entrée de Nantes à ceux qui viennent lui notifier la sentence des commissaires du Roi ; met tout en usage pour susciter des ennemis au Roi, 261. Négocie avec le comte de Charolais, et lui fait connoître la ligue qui se prépare en France ; noms des seigneurs qui conduisent toutes ces intrigues, 262. Signe un traité avec le