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Charge le seigneur de Longueval de faire une levée d’hommes dans le duché de Gueldre, 370. Marche contre les rebelles de La Rochelle, 398. Discours qu’il leur adresse, 400. Leur pardonne en faveur de leur repentir, 403. Réunit son armée à Catillon ; noms des seigneurs qui s’y trouvent, 426. Fait fortifier Landrecies, 427. Pourvoit à la défense de la Picardie ; se retire à Guise, 438. Rappelle les seigneurs français qui se sont jetés dans Landrecies, 439. Décide d’attaquer Luxembourg pour secourir le duc de Clèves ; dispositions qu’il fait à cet égard, 440. Se décide à garder et à fortifier Luxembourg ; raisons qui l’y déterminent ; il se rend lui-même dans cette ville, 453. Délibère d’aller devant Landrecies pour y rencontrer l’Empereur, 454. Noms des capitaines qu’il laisse à la garde de Luxembourg, 455. Instruit de la disette de Landrecies, marche lui-même au secours de cette place, 465. Résolutions prises dans son conseil pour faire entrer des vivres dans Landrecies, 466. Renouvelle la garnison de cette place, et accorde des récompenses à celle qu’il en fait sortir, 468. Lève son camp, et opère sa retraite sur Guise, 472. Pourvoit à la sûreté de ses places, et se retire à La Fère-sur-Oise, 476. Fait faire des levées pour aller au secours du Piémont, 481. Envoie le prince de Melphe au secours de Luxembourg, 482. Envoie Martin Du Bellay en Piémont porter de l’argent au comte d’Enghien, et le charge de s’en procurer par tous les moyens possibles, 491. Mande au comte d’Enghien de lui envoyer 6,000 soldats français et 6,000 Italiens, pour résister à l’Empereur, 521. Donne le commandement de son armée en Picardie au Dauphin et au duc d’Orléans, sous la direction de l’amiral d’Annebaut, 525. Raisons qui le déterminent à traiter de la paix, 550. Conditions auxquelles elle est conclue, 551. Le Roi envoie des secours en Écosse, 559. Lève une armée de terre et de mer pour reprendre Boulogne, 561. Se rend lui-même à Touques en Normandie, 562. Donne ordre au maréchal Du Biez de marcher sur Boulogne, 563. Après la mort du duc d’Orléans son fils, se retire au village nommé L’Hôpital, et de là envoie plusieurs seigneurs visiter le fort élevé devant Boulogne, 587. D’après leur rapport, se retire à S.-Fuscien, 588. Précautions prises pour empêcher une descente des Anglais au pays de Tiérache et environs, 591 ; et pour arrêter les Allemands sur les frontières de la Lorraine, 595. Le Roi envoie auprès de l’Empereur d’Annebaut et le chancel. Olivier pour faire de nouveaux traités, 597. Sur leur rapport, prend des mesures pour la défense de ses frontières, 598. Ordonne de faire une place qui fût nommée Villefranche-sur-Meuse, 599. Fortifications ordonnées à Ste.-Menehould, à S.-Dizier, à Chaumont, à Coiffi et à Ligny, 600. Envoie l’amiral d’Annebaut et le présid. Raymond pour traiter de la paix avec les députés du roi d’Angleterre ; motifs qui l’y déterminent ; conditions de cette paix, 604. Le Roi visite ses places fortes, 606. Meurt à Rambouillet, 608. Son éloge, 609. (Mém. de Du Bellay.) — Anecdote sur ce prince chez un charbonnier, XXII, 508, note. (Comm. de Montluc.)

Précis de ses opérations militaires ; tableau de son règne, XXIII, 179 et suiv. Pourquoi ce prince a été appelé grand, 200. Comment il est fait prisonnier à Pavie ; description de cette bataille, 202. Captivité du Roi ; comment il en est délivré, 204. Faute que fait l’Empereur en cette occasion, 213. État de l’Europe après la délivrance du Roi ; guerres en Italie, 214. Causes des pertes des Français dans ce pays, 223. Comment ils auroient pu y réussir, 224. Le Roi soutient en secret les luthériens d’Allemagne, et se lie avec le Turc, 330. Réflexions