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cernant la convocation d’un concile général, 162. Sa réplique à l’Empereur sur le même sujet, 167. Ses efforts auprès du Pape pour qu’il use de modération envers le roi d’Angleterre à l’occasion de la dissolution de son mariage, 177. Essaie inutilement de retenir auprès de lui le duc de Norfolck, ambassadeur du roi d’Angleterre, pour le mener avec lui à l’entrevue qu’il doit avoir avec le Pape, 185. Comment il accueille Bonacurse-Gryne, député vers lui par les ducs de Bavière, 186. Sa lettre au duc de Milan pour se plaindre de la mort de Merveille, et en demander réparation, 195. Sa lettre à l’Empereur sur le même sujet, 196. Va à Marseille pour s’y entretenir avec le Pape, 200. Se rend au palais du pontife, 207. Objets traités dans cette entrevue, 208. Ordonne par chaque province la levée d’une légion de 6,000 hommes, 268. Fait la revue des légions de la Normandie et de la Picardie ; noms des capitaines de ces légions, 269. Fait marcher la légion de Champagne contre une maison fortifiée du seign. de Burancy, qui s’est soustrait à son obéissance ; rétablit ce seigneur dans sa maison après sa soumission ; demande passage au duc de Savoie, qui le lui refuse, 271. Réitère sa demande jusqu’à trois fois sans avoir de réponse, 274. Envoie au seign. de Velly, son ambassadeur auprès de Charles-Quint, une requête pour ce prince au sujet du duché de Milan, 297. Notifie cette même requête à Liquerques, ambassadeur de l’Empereur auprès de lui, 299. Instruit des menées secrètes de Charles et de sa mauvaise foi dans les négociations, se décide à pousser la guerre en Savoie, 305. Envoie ordre à l’amiral de Buzançès de marcher sur Verceil, 318. Envoie le cardinal de Lorraine auprès de l’Empereur, et le charge de donner en passant ordre à l’amiral de suspendre les opérations de la guerre, 362. Sa réponse au discours tenu à Rome par l’Empereur, 378. François envoie le double de cette réponse au roi d’Angleterre ; pourquoi, 390. Refuse d’attaquer Charles-Quint avant qu’il se soit déclaré en état de guerre, 397. Veut épuiser toutes les voies de négociation qu’il propose, 400. Envoie à ses lieutenans en Italie, Picardie et Champagne, des ordres pour qu’ils se mettent en état de défense, 401. Donne au marquis de Saluces dix-sept places du Piémont, 402. Discours qu’il tient dans son conseil sur l’inutilité de ses tentatives auprès de l’Empereur pour conserver la paix, 419. Plan de défense qu’il y propose, 426. Ses dispositions pour la garde et la sûreté de ces provinces, 431. Mesures qu’il prend après la défection de François de Saluces, 474. Rappelle l’ambassadeur Velly, et renvoie celui de l’Empereur, 496. Pourvoit à la défense de la Provence, 499. Son entretien avec Anne de Montmorency sur la conduite à tenir envers l’ennemi, XIX, 19. Se rend à Valence qu’il fortifie, et d’où il pourvoit à tout, 75. Comment il reçoit la nouvelle de la mort du Dauphin, 80. Sa constance ; discours qu’il adresse au nouveau dauphin Henri, duc d’Orléans, 82. Tient conseil sur les affaires de la guerre ; envoie des ordres à tous ses lieutenans généraux, 84. Envoie Henri commander l’armée sous la conduite du connét. Montmorency ; conseils qu’il lui donne en partant, 136. Investit du marquisat de Saluces Jean-Louis, frère de François de Saluces, 151. Malgré l’avis de son conseil, et celui du conseil de Montmorency établi à Avignon, le Roi part de Valence et se rend à son armée, 157. Veut suivre l’Empereur dans sa retraite ; est détourné de ce dessein par les nouvelles qui lui arrivent de Peronne ; envoie de grands secours vers cette ville, 160. Instruit de la retraite du comte de Nassau de devant cette place, fait dans son camp une procession générale pour en remercier Dieu ;