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gens le pays de Vimeu et de Santerre, VII, 282. Est reçu dans Beauvais, 283. Pénètre dans le faubourg de Saint-Marcel de Paris, où se livrent plusieurs combats, 285. Force le roi Charles à lever le siége de Senlis, 292.

Foucaud (les filles de Jacques), procureur en parlement, sont pendues et brûlées comme huguenotes obstinées, XLV, 367.

Foucaut d’Aricart ou d’Archiac seconde le captal de Buc à la bataille de Navarette, IV, 410.

Fouez (le comte de) vient à Paris, où il s’éprend d’Étiennette de Besançon, femme d’un marchand de cette ville, et la séduit, au point qu’elle abandonne son mari, ses enfans, etc., pour le suivre, XIII, 385.

Fougères (Raoul de) se déclare pour la régente Blanche de Castille, II, 45.

Fougères, ville de Bretagne, prise par les Anglais pendant la trève qui existoit entre Charles VII et Henri VI, X, 9.

Foulon (Joseph), abbé de Ste.-Geneviève, se retire par ordre du duc de Mayenne dans sa maison d’Auteuil pour remettre sa santé affoiblie par les persécutions qu’il a souffertes de la part des Seize, du légat et de ses propres religieux, XLVI, 519. Va à Melun auprès du Roi, 552.

Foulques, curé de Neuilly. Son éloquence, ses prédications, ses succès, I, 10. Se rend à la cour du comte de Flandre, et détermine ce prince et sa femme à tout quitter pour la guerre sainte, 14. (Notice.) — Foulques annonce la parole de Dieu dans la France et les pays voisins, 98. Prêche la croisade à Cîteaux, 128. Sa mort, 146. (Ville-Hardouin.)

Fouquarmont (Gaston de Brezé, prince de), est envoyé au secours du roi de Danemarck avec 2,000 hommes de pied, XVII, 279.

Fouqueroles (le seign. de) est tué à Boulogne, dont il croyoit se rendre maître, XIX, 557.

Fourelaville, gentilh. normand, est décapité en place de Grève avec sa sœur pour cause d’inceste commis ensemble, XLVII, 416.

Fourny (le sieur Du), mestre de camp du parti du Roi, est tué au siége de Noyon, XL, 283.

Fourquevaux (le baron de) est blessé et fait prisonnier à la bataille de Marciano, XXI, 201. (Comm. de Montluc.) XXIX, 298. — Chef de catholiques, il vient se retrancher devant Montpellier, qu’il veut assiéger, XXXIV, 355. (Mém. de Philippi.)

Fradin (Ant.), de l’ordre des cordeliers, est banni du royaume à cause de ses prédications et des assemblées qu’elles occasionent, XIV, 75.

Franc (Du), lieuten. au siége de Condom, donne avis à Montluc de la conspiration des protestans, XXII, 18. Meurt empoisonné par eux, 19.

Francio, fils d’Hector, fils de Priam, fonde la cité de Cicambre ; ses descendans résistent aux Romains, V, 252.

François I succède à Louis XII ; il entreprend de recouvrer le duché de Milan, occupé par Maximilien, fils de Ludovic Sforce ; passe avec son armée et son artillerie par un chemin difficile, dont les ennemis ne se doutent point, XIV, 493. Entre dans Novarre ; traite avec les Suisses, qui, à l’instigation du cardinal de Sion, viennent l’attaquer, 494. Bataille de Marignan ; le Roi passe la nuit sur le limon d’une charrette, 495. Le lendemain, exhorte ses troupes au combat, 496. Défait les Suisses et les met en déroute, 498. Apprend lui-même à Louis de La Trémouille la mort de son fils Charles, prince de Talmont, 500. S’approche de Milan ; en reçoit les clefs des principaux habitans ; discours qu’ils lui adressent en les lui remettant, 502. Réponse qu’il leur fait, 504. Entre en triomphe dans la ville, 505. Bat les Allemands et les Anglais en Picardie, 529. Fait assiéger Fontarabie, dont Guillaume