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est tué par Augustin, Palvoisin, et le comte de Popoli, XXIV, 24. (Mém. de Tavannes.) — Se fortifie dans ses duchés, XXXI, 17. Fait construire un château à Plaisance, dans lequel il est tué, 18. (Rabutin.)

Fauconnerie du roi de France. (Voyez les Mém. de Fleurange, XVI, 159.)

Faudoas (Antoine de Rochechouart, seign. de), sénéchal de Toulouse, reçoit le commandement d’une légion de mille hommes, XX, 385.

Faugères (le baron de) est pris et tué par les catholiques ; sa tête est portée à Lodève, XXXIV, 390.

Faur (Pierre Du), président à mortier au parlement de Toulouse, reçoit à Saint-Jorry Jacq. de Thou et Pithou ; publie des commentaires sur les règles du droit, qu’il dédie à Cujas, XXXVII, 324.

Fausta (la signora Livia), dame de Sienne, commande les jeunes dames qui travaillent aux fortifications de cette ville, XX, 64.

Faustus, seign. d’Autun et de Saulxlieu, tige des seigneurs de Saulx de Tavannes, fait baptiser son fils Phorien et sa sœur Léonine par saint Bénigne, XXIII, 137.

Faustus, seigneur de Langres et de Saulxlieu, successeur du précédent, fortifie et retranche des rochers contre les Vandales, et se réfugie avec ses parens et amis dans un lieu appelé depuis Saulx-le-Duc, XXIII, 139. Meurt dans une bataille livrée entre les Français et les Bourguignons ; ses enfans traitent avec les rois de France et d’Austrasie, et érigent le château de Saulx en duché, 141. Une fille de Saulx épouse sous Charlemagne un roi de Bohême nommé Léopold, après la mort duquel ceux de Saulx possèdent quelque temps la couronne de Bohême, 142.

Fava (Franc.), soi-disant médecin et marchand de diamans, enfermé pour vol, impostures et autres crimes, se donne la mort par le poison ; son corps est traîné à la voierie, XLVIII, 114. Histoire de ses friponneries, 115.

Favars (le capit.), mestre de camp, meurt des blessures qu’il a reçues sur le rempart de Metz, XXXII, 360.

Favas (M. de) sort de Castel-Jaloux avec une troupe pour empêcher le passage de la jeune Reine, qui se rend d’Espagne à Bordeaux ; mais M. de Guise le force à rentrer dans la ville, L, 318. Député général des protestans auprès du Roi, fait de fréquens voyages à La Rochelle, soi-disant pour porter les esprits à l’accommodement ; mais il travaille plutôt à les aigrir qu’à les ramener, 500.

Fay (Michel Hurault, sieur de), auteur de l’Excellent Discours, meurt à Quillebœuf ; il ordonne qu’on l’expose après sa mort trois jours sur les remparts de la ville, XLVI, 310.

Faye (Ermite de La) est envoyé auprès du roi de Chypre de la part du gouverneur de Gênes, VII, 27.

Faye (le capit. La) repousse un grand corps d’ennemis devant Metz, XXXII, 327. Est fait prisonnier dans une sortie, 363.

Faye (Jacq.), avocat au parlement de Paris, remontre au Roi le tort qu’il fera à son royaume s’il y reçoit les décrets du concile de Trente ; division dans le clergé à ce sujet, XLV, 306.

Faye (La), ministre protestant, exprime au Roi les craintes des protestans sur l’intention où il est de se faire instruire dans la religion catholique, XX, 266. Réponse que le Roi lui fait, 267. (Introd.) — Sa réponse à M. d’O, qui se plaint qu’on fait des prêches à Paris, XLVII, 77. (Mém. de L’Estoile.)

Fayolles (le capit.) est blessé dans une sortie au siége de Metz, et meurt de ses blessures, XXXII, 333.

Félix (le comte), commandant de lansquenets sous les ordres du comte de Nassau, assiége Messen-