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est imprimée et répandue par les ligueurs, 82.

Fakredin. (Voy. l’art. Facardin.)

Falerans (Jacques de) monte le premier à l’assaut de la tour de Schendelbeke, X, 134.

Fallot (Jean), capitaine anglais au service des Gantois révoltés, engage sa compagnie à passer du côté du duc de Bourgogne ; comment il exécute ce dessein, X, 124.

Falstol, général anglais, escorte un convoi et défait les troupes du Roi à la journée des harengs ; différens avis sur les causes de cette défaite, VIII, 37. Est battu à Rouvray, 47. (Tabl. du règ. de Charles VII.) — Assiége Tannie dans le Maine, et s’en rend maître par composition, 107. Il attaque et prend le château de Saint-Ouen appartenant au seigneur de Laval, 129. Assiége le château de La Gravelle, le met à composition ; est forcé de l’abandonner malgré l’arrivée du duc de Bedfort, 130. Escorte un convoi pour l’armée anglaise devant Orléans ; l’y amène à la vue des Français, après le combat de Rouvray, 149. Part de Paris avec des vivres et des provisions qu’il laisse à Étampes, et se rend à Yenville auprès de Talbot, 184. (Mém. conc. la Pucelle.)

Fama (le seigneur de), gouverneur espagnol de la citadelle de Cambray, est fait prisonnier par le prince de La Roche-sur-Yon, XXXI, 264.

Famas (le sieur de), général de l’artillerie des États de Hollande, est tué au siége de Dotmarson, XLI, 92.

Faracataie, un des officiers du souldan Almoadan, lui fend le ventre après sa mort, et lui arrache le cœur, II, 295. Vient trouver le Roi, et lui demande le prix de son crime, 296.

Fargis (Phil. d’Angeunes de), envoyé par le maréchal d’Aumont contre la milice qui vient de Paris pour secourir la ville d’Orléans et en assiéger la citadelle, la met en fuite près de Nemours, et lui enlève sa poudre et ses bagages, XXXVII, 403. (J. A. de Thou.) — Envoyé pour investir le Mans, il sauve des flammes une grande partie du faubourg de la Couture, XXXIX, 338. Est nommé gouverneur de cette ville après la soumission qu’elle fait au Roi, 340. Va au secours de Sablé, XL, 59. Est blessé, et se retire au Mans, 60. Est blessé de nouveau au siége de Lavardin, et meurt au Mans des suites de sa blessure, 162. (Mém. de Cayet.)

Fargues (Jacq. de), marchand apothicaire de Montpellier, est mis en prison comme protestant ; sa maison est pillée par le peuple, qui exige des consuls qu’il soit mis à mort, XXXIV, 375.

Farines (la journée des) : pourquoi ainsi appelée ; on en fait une fête solennelle à Paris, XLVI, 120. Détails sur cette journée, 122.

Fariscour en Égypte, où se livre un combat dans lequel les Français sont défaits et mis en fuite, III, 29, 41, 49, 52.

Farnèse (Alex.), doyen du sacré collége, est élu pape, et prend le nom de Paul III, XVIII, 291. (Voyez ce nom.)

Farnèse (Horace), duc de Castres, se jette dans le château de Hesdin pour le défendre, XXXI, 201. Y est tué d’un boulet de canon avec plusieurs seigneurs, 205. Leurs noms, 206.

Farnèse (Octave) essaie de recouvrer le duché de Parme, occupé par les troupes de l’Empereur, XX, 48. (Introd.) — Traite avec Henri II, qui le prend sous sa protection, XXI, 78. (Comm. de Montluc.) XXIV, 25. Se réconcilie avec le roi d’Espagne ; reçoit Plaisance et le revenu de Novarre, 184. (Mém. de Tavannes.) — Abandonné par le pape Jules III, il implore et obtient la protection du roi de France, XXXI, 20. (Rabutin.)

Farnèse (Pierre-Louis de), duc de Parme, favorise Jean-Louis de Fiesque à l’entreprise de Gênes ;