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avec lui dans son voyage à Gland, XLVIII, 10. Revient à Paris ; tempête qu’il essuie en route, 16. Son opinion sur l’ouvrage des jésuites intitulé Amphiteatrum Honoris, et sur un autre d’une demoiselle, intitulé le Petit Nain combattant le monde, 21. Consigne aux mains de M. Despinelle son gros Registre-journal in-folio, 22. Reçoit de sa tante Du Thil une obligation de feu son fils qu’elle lui abandonne, 37. Sa visite chez messieurs Dupui ; ce qu’il y remarque de curieux, 61. Visite la bibliothèque du Roi ; manuscrits curieux ; reçoit le modèle en papier d’une pièce d’or battue en Angleterre lors de la réunion des deux royaumes d’Écosse et d’Angleterre, 80. Prête à M. Dupui son Registre-journal de ce qui s’est passé de plus mémorable depuis la mort du feu Roi jusqu’à la réduction de Paris, 83. On lui donne avis d’un emblême sur le traité de paix des Pays-Bas, 85. Reçoit une visite du neveu du docteur Arbuthnot, 87. Donne à un marchand orfèvre la tête antique d’une Faustine de marbre, 97. Fait faire l’inventaire de tous ses papiers-nouvelles, qui montent à deux mille deux cent dix, 100. Quatre seigneurs allemands vont par curiosité voir son étude et son cabinet, 101. Reçoit de M. Peiresc la médaille en cuivre de madame la duchesse de Valentinois, 111. Sa dépense pour la transcription de ses papiers journaux et mémoires, 126. Remet à M. Courtin tous ses jetons d’argent pour en trier les devises et les années, 139. Prête au même quelques pièces rares et curieuses, 148. Est volé par un de ses amis, 149. Va saluer l’ambassadeur d’Angleterre ; assiste à un prêche ; ce qu’il y remarque, 153. Achète diverses nouveautés, 156 ; entre autres une drôlerie contre le Pape, 159. Il raconte plusieurs actes exécrables commis à Paris au mois d’août 1608, 160. Achète un portrait en taille-douce d’Ignace Loyola, et autres fadaises semblables, 164. Reçoit la visite de l’ambassadeur d’Angleterre et celle de M. Turquet, auteur de l’Histoire d’Espagne, 167. Il fait l’épitaphe de son tombeau, 173. Veut vendre son cabinet et sa bibliothèque, 174. Écrit en latin sa dernière volonté et sa confession de foi, 175. Achète quelques ouvrages de dévotion dont il se moque, 178. Prend connoissance d’un manuscrit intitulé de la Tradition et croyance des Chrétiens d’Asie, d’Europe et d’Afrique, etc. ; son opinion, 179. Achète quelques livres de disputes théologiques, 183. Un livre nouveau intitulé l’Injustice terrassée aux pieds du Roi, 193. Vend un grand nombre de ses jetons d’argent, 196. Achète deux figures de monstres nés l’un en Bohême, l’autre en Piémont, 210. Sort d’une affaire épineuse qu’il avoit avec un des plus grands trompeurs de Paris, 233. Est accusé de perfidie par un nommé Lécuyer ; pourquoi, 236. Va voir un prétendu antiquaire, 237. Fait marché avec Lécuyer de son registre manuscrit, 245. Possède un pistolet du pape Jules II, pièce rare et curieuse, 246. Prête à un marchand épicier trente livres tournois sur une gondole de nacre de perle, 254. Reçoit la visite de sa tante Du Thil ; espérances qu’elle lui fait concevoir pour son fils, 261. Sa maladie ; prière particulière qu’il adresse à Dieu, 263. Visite son cousin La Guierche ; à quelle occasion, 268. Ses plaintes et ses consolations à la fin de l’année 1609, 350. Reçoit la visite de M. de Bérule, avec lequel il dispute sur la religion, 362. Embarras pécuniaire, 373. Somme reçue après dix ans de poursuite, 383. Sa maladie, sa piété et résignation, 410. Il se confesse à un jacobin, XLIX, 139. Conseille à un de ses amis de la religion reformée de ne point publier un livre sur lequel il l’a consulté, 147. Son petit Claude se brûle le visage, 165. Il vend la plupart de ses petites médailles d’or, 201. (Mém. de L’Estoile.)