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accueil qu’il reçoit dans ce pays ; éloge qu’il en fait à ses amis des Pays-Bas, XVII, 36. Rappelé par Marguerite d’Autriche, est revêtu d’une charge de conseiller honoraire ; refuse la direction du collége royal de France, 37. Ose écrire à Charles-Quint une lettre éloquente en faveur de François I, son prisonnier, 87. Sa mort, son éloge, 142. Il lut loué et recherché des princes ; son indécision à l’égard de certains points de doctrine, 143.

Ernest, archiduc d’Autriche, marche avec une armée contre le bacha de Bosnie ; arrête les progrès des Turcs, XLI, 197. Est nommé gouverneur des Pays-Bas par le roi d’Espagne ; fait son entrée à Bruxelles ; tous les seigneurs et États lui jurent fidélité et obéissance, XLII, 220. Peu de succès qu’il obtient dans ce pays, 221. Publie deux déclarations de guerre contre la France, en réponse à celle du Roi, XLIII, 12. Sa mort, 16. Diverses causes auxquelles elle est attribuée, 17. Il est faussement accusé d’avoir voulu faire attenter aux jours du prince Maurice, 18.

Errart de Valery, pris par les Turcs, est aussitôt délivré par son frère Jean de Valery, II, 272.

Errart d’Esmeray reçoit plusieurs blessures au visage ; a le nez tranché, II, 243 ; et court dans cet état demander au comte d’Anjou du secours pour débarrasser Joinville et ses compagnons, 244.

Escalles (le seign. d’), frère de la reine d’Angleterre, défend une entreprise d’armes en présence du Roi, contre Antoine, bâtard de Bourgogne, X, 261. Joûte au mariage du duc de Bourgogne, 363.

Escarcelle et le Bourdon (l’). Ils ont toujours été la marque particulière des pélerins ; ceux qui partoient pour la Terre Sainte alloient les recevoir des mains des prêtres dans l’Église, III, 289. Les rois eux-mêmes ont pratiqué cet usage, 290. L’escarcelle et le bourdon étoient bénis par les prêtres, 292. Les hérétiques albigeois se railloient des croisés en les appelant bourdonniers ; d’où vient le nom de bourdon, 293. Les pélerins de la Terre Sainte, en revenant de leur voyage, rapportoient une branche de palmier pour preuve de l’accomplissement de leur vœu, 294, et la présentoient aux prêtres, qui la déposoient sur l’autel, 295.

Escars (le seign. d’), impliqué dans la conspiration du connétable de Bourbon, est condamné à deux ans d’exil, XVII, 63.

Escaufours (le capit.) est tué au siége de Mont-de-Marsan, XXII, 368.

Escornay (Gauthier d’) conduit l’arrière-garde de l’armée contre Johannice, I, 406. Est battu dans les défilés du mont Hémus, 450.

Escossé (Hugues d’) reçoit trois grandes blessures au visage en se défendant près de la Massoure, II, 243.

Escurion, amiral de Théodore Lascaris, monte le canal, et va assiéger la ville de Squise par mer, I, 438. Se retire à l’approche des vaisseaux français et s’enfuit, 440.

Espagne (cour d’) : usages et coutumes de cette cour ; officiers de la maison royale, L, 170. Compagnies des gardes ; dames du palais, 171. Gouvernement, 172. Sa politique, 173. Des consultes, 175. Des ordres de chevalerie ; avantages que le Roi en retire, 177. Des gouvernemens et autres charges, 178. De l’autorité des Castillans, 179. De l’aversion des Portugais pour les Castillans, 181. Avis de Charles-Quint à son fils Philippe, concernant la manière de traiter les Flamands, 182. Conduite de l’Espagne à l’égard de l’Italie, 183. Les rois d’Espagne catholiques plutôt par intérêt que par zèle de religion, 189. De la fertilité des deux Castilles, 191. Des villes ; du peuple d’Espagne ; l’Escurial, 192. Des femmes ; des tapadès, 193.

Esparon de Pallières (bataille d’), livrée aux Savoyards, et ga-