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Henri IV, et lui envoie offrir ses services en lui demandant de l’argent, XLVI, 43. Se rend au parlement après la mort du Roi, et demande que la Reine soit sur-le-champ déclarée régente, XLVIII, 452. Se porte pour défenseur des jésuites, XLIX, 44. Va à Compiègne chercher le corps de Henri III, et le conduit à S.-Denis, 54. Enterrement de ce prince fait sans pompe ni solennité, 56. Appuyé de l’autorité du comte de Soissons, le duc contrecarre les desseins du prince de Conti, 68. Va au devant du prince de Condé avec cent chevaux, 86. Affecte de se montrer aux dévotions populaires, 91. Outrage un archer des gardes ; pourquoi, 162. (Mém. de L’Estoile.) — Prétend avoir l’entrée en carrosse et à cheval dans le logis du Roi ; comment il l’obtient, L, 127. Fait donner des coups de bâton au capitaine de la porte qui lui a refusé l’entrée ; comment cette affaire est étouffée, 128. Revient à Paris quelque temps après la mort du maréchal d’Ancre, 404. Descend chez le Roi à la tête de 500 chevaux, puis va chez M. de Luynes, 405. Sa mésintelligence avec lui, 426. Il se retire à Metz sans prendre congé du Roi, 427. Reçoit de la Reine mère une lettre qui le prie de la servir dans le recouvrement de sa liberté ; sa réponse, 429. Sur les assurances qu’on lui donne, consent à y travailler ; reçoit chez lui l’abbé Ruccelaï, 430. Ils conviennent ensemble des moyens d’exécution, 431. Part de Metz pour se rendre à Loches ; détails sur ce voyage, 433. Reçoit la Reine mère, 436. Écrit au Roi pour excuser sa conduite, 438. Sa mésintelligence avec Ruccelaï, 440. Fait de grandes excuses au Roi de ce qu’il a fait, et proteste de n’y retourner jamais, 491. Chasse M. de La Force du Béarn, 503. Obtient le gouvernement de Guyenne pour dédommagement de la charge de connétable à laquelle il avoit toujours aspiré, 542. Refuse de se mettre du parti de Monsieur et de M. le comte de Soissons, LI, 276. (Font.-Mareuil.)

Épi (le seign. d’) est blessé au premier assaut livré à la ville de Ravennes, XVI, 27.

Épinai (le marquis d’), marié à la fille de M. de Vieilleville, se bat devant Boulogne contre le fils du lord Dudlay, le renverse à terre et le fait prisonnier, XXVI, 315. Il est fait chevalier par le Roi, 316. Il rend la liberté à son prisonnier sans vouloir de rançon, 319. Reçoit de son beau-père la commission de capitaine d’une compagnie de chevau-légers que le Roi lui a envoyée, XXVII, 166. Reçoit le brevet de commandant de Metz pour succéder à son beau-père en cas de mort, 308. Est blessé au siége de Thionville, 362. Sa conduite à Rouen lors de la querelle entre M. de Villebon et le maréchal de Vieilleville, XXVIII, 115. Il remporte le prix et l’honneur aux joûtes célébrées dans cette ville, 127.

Épise (Pierre de L’) est tué a la bataille de Cocherel, IV, 268.

Épuisac (le seign. d’) surprend les Italiens dans une embuscade, en tue un grand nombre, fait plusieurs prisonniers, XIV, 285.

Érard (Guillaume) prêche la Pucelle sur la place du cimetière de l’abbaye de S.-Ouen, VIII, 301. La presse de signer la formule de rétractation qu’on lui présente, 303.

Érard, jeune homme du pays de Vernoux, se jette dans les tours de Munas et d’Oriol ; fait des courses dans les environs, et met tout à contribution, XXXIV, 315. Se jette dans la ville de Tence, qu’il fortifie ; est assiégé et fait prisonnier, puis relâché ; laisse mourir de faim plusieurs prisonniers, pour savoir combien de jours un homme peut vivre sans nourriture, 317. Est fait prisonnier et pendu, 329.

Érasme, de Roterdam, étudie à Paris au collége de Montaigu ; passe en Angleterre ; dirige les études du prince de Galles, depuis Henri VIII ;