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sieurs places ; ses dispositions militaires auprès de Carignan, 124. Dépêche au Roi pour lui demander la permission de livrer combat, 125. Noms des principaux seigneurs français qui viennent se réunir à lui, 126. Il livre la bataille de Cerisolles, 130, et la gagne, 135. (Mém. de Vieilleville.) — Est tué à la bataille de S.-Quentin, XXXII, 56. (Comm. de Rabutin.) XLV, 52.

Enguerrand d’Eudin passe la Seine à la nage pour joindre l’armée de Duguesclin, IV, 259. Se distingue à la bataille de Cocherel, 268. Se distingue à la bataille de Pontvallain, V, 86.

Enguerrande, présid. de Nantes ; il paroît sous son nom une lettre écrite au prince de Condé retiré à Bruxelles, XLVIII, 357.

Enguerrant, curé de Lorgeries près de Gisors, auparavant ministre protestant, fait de nouveau profession de sa foi à Charenton, XLVIII, 355.

Entrache (Gauthier d’) court seul contre les Sarrasins ; est renversé de cheval, II, 223. Assommé de coups de massue par les ennemis, meurt des suites de ses blessures, 224.

Entrechaux (le seign. d’) est envoyé par le prince de Condé pour demander aux quatre diocèses de Viviers, Uzès, Nismes et Montpellier, 50,000 livres destinées à renvoyer hors du royaume les soldats étrangers, XXXIV, 373.

Entreprises à la guerre. Comment elles doivent être faites ; ce qui les fait manquer ; comment elles peuvent réussir, XXV, 160 et suiv.

Épernon (le duc d’) est fait amiral, et reçoit le gouvernement de Normandie, XX, 204. Entame une négociation entre Henri III et le roi de Navarre, 225. (Introd.) — Danger qu’il court d’être tué à Angoulême, XXXVI. 144. (Mém. de Cheverny.) — Chasse les huguenots de la Provence ; en fait pendre quelques-uns après la prise de Sarennes, XXXVIII, 301. Il est fait amiral de France et gouverneur de Normandie, 345. Est envoyé en Guyenne, 380. Publie une apologie en réponse à la requête des princes de la Ligue, 385. Défait la cavalerie qui fait partie de la garnison de Montreuil ; assiége le château de Pierrefons, où il est blessé, XL, 245. Rassemble une armée en Provence ; assiége et reprend Antibes, XLI, 119. Assiége Aix ; est renversé par terre et cru mort ; retourne en Guyenne ; revient à Brignoles, XLIII, 203. Faillit y être assassiné, 204. Quitte la Provence, qu’il laisse au duc de Guise, 218. (Mém. de Cayet.) — Il s’oppose au mariage de mademoiselle de Maure avec le fils de Villeroy, XLIV, 43. Rivalité entre lui et le duc de Joyeuse, 44. Son inimitié contre M. de Villeroy, 45 ; et contre les ducs de Guise et de Mayenne, 46. Il injurie et menace en présence du Roi M. de Villeroy, 50. Il va trouver le Roi à Chartres, et avant d’en partir le dissuade tant qu’il peut de la paix, blâmant ceux qui la lui conseillent, 54. Son mécontentement envers M. de Villeroy depuis qu’il a négocié la paix avec le duc de Guise, 75. (Mém. de Villeroy.) — Il remet au Roi un don de 20,000 écus qu’il en a reçu, provenant des états des procureurs de la chambre des comptes, XLV, 198. Est blessé au siége de La Fère, 202. Vient au parlement faire entériner les lettres d’érection de la châtellenie d’Épernon en duché-pairie, 222. Est envoyé par le Roi avec plus de cent gentilshommes auprès du roi de Navarre pour le prier de venir à la cour, 275. Prête serment au parlement en qualité de colonel général de l’infanterie française, 286. Se marie à petit bruit au château de Vincennes, 336. Donne un festin magnifique où le Roi, les Reines et la cour assistent, 337. Reçoit du Roi 400,000 écus, 338. Fait un rude affront à M. de Villeroy, secrétaire du Roi, 339. Est reçu amiral au parlement, 353. Vers faits à cette occasion, 354. Il lève des troupes pour