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aux officiers français tués dans le combat, 272. Envoie à Vernon, puis à Rouen, les prisonniers anglais, et rend compte au Roi du succès de la bataille ; en reçoit pour récompense le comté de Longueville, 273. Part de Rouen avec ses troupes, 274. Investit le château de Valognes ; invite le gouverneur à se rendre, 275. Livre des assauts inutiles, 276. Persiste, contre l’avis de son conseil, à battre la place, 277. Refuse de l’acheter pour de l’argent, et la reçoit par capitulation, 278. Obligé de la prendre de force parce que des chevaliers anglais y étoient rentrés après la capitulation, il leur fait abattre la tête à tous, 280. Comment il se rend maître de la dernière place de la Normandie ; traite avec douceur la garnison anglaise, et comme rebelles tous les Normands qui s’y trouvent, 282. Promet à Charles de Blois d’aller à son secours, 283. Se rend auprès de lui à Guingamp, 284. Le détourne de souscrire aux propositions du comte de Montfort, 286. Vient se placer près des ennemis devant Auray, 291. Fait un carnage horrible de tout ce qui se présente sous sa main ; marche droit à Clisson, 295. Résiste à Caurelay, qui est venu l’attlaquer par derrière, 297. Se défend avec un courage intrépide, 299. Apprenant la mort de Charles de Blois, se rend prisonnier à Chandos, 301. Est conduit à Niort, 303. Est remis en liberté ; va à Paris offrir ses services au Roi, 304. Conjure le roi de Navarre d’être à l’avenir plus religieux observateur des traités, 305. Désire se croiser pour combattre les Infidèles, 306. Propose au Roi de le délivrer des bandes qui désoloient la France, en les envoyant en Espagne pour venger la mort de la reine Blanche ; offre de se mettre lui-même à leur tête, 322. Est envoyé auprès des chefs de ces bandes ; comment il en est reçu, 323. Leur fait part de son projet, qui est goûté de tous, 325. Retourne à Paris faire part au Roi du succès de sa mission, 326. Assemble à Châlons les chefs de bandes, se met à leur tête, et se dirige vers Avignon, 327. Accueil qu’il fait au cardinal que le Pape envoie au devant de lui, 328. Lui déclare nettement qu’il lui faut l’argent demandé, 329. Apprenant que le Pape a fait sur les habitans d’Avignon une levée de deniers pour satisfaire à cette demande, refuse l’argent, exige qu’il leur soit rendu, et que le Pape paie de son propre trésor, 332. Promet au duc d’Anjou de tout faire pour enlever la couronne à Pierre-le-Cruel et la mettre sur la tête de Henri ; fait la même promesse à Henri lui-même, 333. Va camper devant Maguelon, 337. Assiége cette place, 338. S’en empare, et partage le butin à ses troupes, 339. Attaque la ville de Borgues, 340. Y entre de force, 341. Investit la forteresse de Bervesque, 342. S’ouvre l’entrée de cette place à grands coups de hache, 343. En fait brûler les portes, 344. Conseille à Henri de s’emparer de Burgos, 348. Y conduit l’arrière-garde, 349. Entre avec Henri dans Burgos, 355. Va au devant de la femme de ce prince, 357. Entretien curieux des sœurs de cette princesse sur la personne de Duguesclin, 358. Pense à tourner ses armes contre les Sarrasins de Grenade, 361. Se laisse entraîner à l’avis du Besque de Vilaines, qui propose de marcher sur Tolède, 362. Entre avec sa compagnie dans Séville, 375, qui n’est prise qu’après un siége opiniâtre, 376. Conseille à Henri de dépêcher en Portugal quelque chevalier pour savoir quelles sont les dispositions du Roi à l’égard de Pierre-le-Cruel, 378. Propose de faire combattre en champ clos les deux juifs Daniot et Turquant ; est préposé pour veiller à ce que tout se passe dans l’ordre en ce combat singulier, 390. Rassure Henri, et dissipe ses craintes au sujet du prince de Galles, 401. Envoie des espions à l’armée de ce prince, 404. Sa défiance et son opinion à