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entendre la messe, et se recommande à Dieu avant de partir pour le combat, 200. Résiste aux instances de sa tante, qui veut l’en détourner, 201. Triomphe de Brambroc, lui laisse la vie ; sa galanterie en cette occasion, 202. Rentre dans Rennes au milieu des applaudissemens, 203. Fait une sortie contre les Anglais ; brûle une de leurs machines, 204. Propose au duc de Lancastre un moyen de lever le siége sans paroître trahir le serment que ce prince avoit fait, 205. Lui verse à boire, et lui demande où se doit continuer la guerre, 206. Court à la défense de Dinan, 208. Description d’un combat qu’il soutint contre un chevalier anglais avant d’aller défendre Dinan, 209. Instruit que son frère Olivier a clé fait prisonnier pendant la trève, va trouver le duc de Lancastre dans sa tente, 212. Lui demande justice et l’obtient, 213. Ramasse le gant que lui jette Thomas de Cantorbie, 214. Se bat dans Dinan en champ clos avec lui, après avoir résisté à toutes les instances qu’on lui a faites de renoncer à ce combat, 219. Le renverse, en triomphe complètement, 221. Bénédictions qu’il reçoit de sa tante, 222. Félicitations des habitans de Dinan et des seigneurs anglais, 223. Après la levée du siége de Dinan, prend soin des intérêts et commande les troupes de Ch. de Blois, 224. Vole avec plusieurs seigneurs auprès de lui, 226. Est livré comme otage du traité qui se conclut ; conjure son gardien Felleton de lui dire pourquoi le comte de Montfort le fait garder plus étroitement que les autres, 227. Instruit de la cause injuste de cette rigueur, médite son évasion, l’exécute, et se rend à Guingamp, 229. Comment il se voit forcé de rester dans cette ville pour en secourir les habitans, 230. Donne la chasse à tous les coureurs anglais ; se rend maître de trois places ; débarrasse tout le pays ; va trouver Charles de Blois, qui le marie à une héritière fort riche, la demoiselle Tiphaine ; faveur que lui fait la comtesse de Blois, 231. Se rend auprès de Charles, duc de Normandie ; lui offre son bras et son épée contre les Anglais et les Navarrois, 232. Situation de la France ; embarras du duc de Normandie à cette époque, 233. Duguesclin suit ce prince à Melun, 234. Se trouve à l’attaque du château ; encourage les assiégeans par son exemple et par ses conseils, 236. Monte lui-même à l’assaut, 238. Est renversé dans un fossé plein d’eau ; rappelé à la vie, retourne au combat, et force les assiégés à se renfermer dans la place, 239. Reçoit en récompense de sa bravoure le gouvernement de Pontorson, 240. Attaque Rouleboise, 241. Entre dans Mantes, dont il force les habitans à se soumettre au duc de Normandie, 244. Attaque de nouveau Rouleboise, 245. Effraie le gouverneur par ses préparatifs, et l’oblige à capituler, 246. Se porte aussitôt sur Meulan, 247. Attaque cette place, en enfonce les portes, y pénètre, 249. Fait miner la tour, 250, qui se rend par composition, 251. Reçoit du duc de Normandie, devant le Roi, le commandement de toutes ses troupes, 252. Tient à Rouen un conseil composé des officiers de son armée ; noms des principaux officiers, 253. Va droit au pont de l’Arche, 254. Y fait la revue de ses troupes et les exhorte à bien faire, 255. Se rend à Cocherel, 257. Se met en état de combattre, 259. Envoie inviter le captal de Buc à choisir un terrain égal pour en venir aux mains, 261. Moyen qu’il emploie pour l’attirer à un combat, 262. Ses dispositions, 263. Sa réponse au héraut que le captal de Buc lui envoie, 265. Se distingue à la bataille de Cocherel, 266. Relève le courage des siens par sa présence et ses discours, 267. Abat à ses pieds le baron de Mareuil, 268. Stratagême qui lui procure la victoire, 270. Taille en pièces les recrues qui arrivent aux Anglais, 271. Fait rendre les derniers devoirs