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Il se retire à Château-Gontier, puis à Angers, 69. Assiége en vain le fort de Rochefort près d’Angers, 183. (Mém. de Cayet.) — Se marie au Louvre avec la comtesse de Montafié, XLV, 223. Revient à la cour, moyennant la somme de 50 mille écus que lui promet la Reine régente, XLIX, 104. (L’Estoile.)

Conty (le seign. de), capitaine de cent hommes d’armes, est blessé dans une excursion contre les Suisses, et meurt à Milan, XV, 376.

Conventions faites entre le Roi et les chevaliers qui devoient aller outre mer avec lui, II, 435. Liste des noms desdits chevaliers, 438.

Conversan (le comte de), frère de Jean de Luxembourg, continue le siége du château d’Alibaudière ; le reçoit à composition, VII, 324.

Conzaze (le seign. de) est blessé à l’assaut du boulevart d’Orléans, VIII, 142.

Coppenolle (Jean), chaussetier de Gand, reçoit du roi de France 600 francs de pension pour entretenir le trouble dans cette ville, X, 444. S’enfuit en France, 447. Revient à Bruges soutenir la révolte de cette ville, 453. Est tué par un artisan dans la ville de Gand, 464.

Coquerel, général des monnoies, publie un discours sur le changement qu’on se propose d’y faire ; toutes les copies en sont saisies, XLVIII, 293.

Coqueville fait des levées en Normandie pour le compte de l’amiral ; il est arrêté et supplicié ; l’amiral le désavoue, XXV, 35 ; XXXIII, 429.

Coquielle (La), gouverneur de Stenwick pour le roi d’Espagne, se voyant assiégé par le comte Maurice, harangue les capitaines de sa garnison, XLI, 85. S’assure de leur fidélité, 86. Soutient courageusement l’attaque, 87. Est forcé de rendre la place après avoir été blessé, 90.

Corbie (Guill. de), conseiller au parlement de Paris, est nommé par Louis XI premier président du Dauphiné, XIII, 263.

Corbie et La Capelle. Ces deux villes sont prises par les Espagnols ; détails à ce sujet, LI, 241 et suiv. À quelles conditions Corbie est rendue par les Espagnols, 267.

Cordier (Regnaut), principal au collége de Chaumont en Bassigny, publie quatre bons discours de dévotion, XLVII, 410.

Cordignac (le sieur) se range du parti du roi d’Espagne, par dépit de ce que le roi de France l’a voulu priver de la charge de son agent à la Porte Ottomane, XXX, 241.

Cordon, jeune et belle femme, mordue par une petite chienne, devient enragée ; elle meurt d’une médecine empoisonnée que lui donne son mari, ne voulant pas être étouffée, XLVII, 437.

Cormery (Hugues et Geoffroy de) prennent la croix, I, 102.

Cornay (le capit.) est blessé au siége de Metz, et meurt de ses blessures, XXXII, 328.

Corne (Ascagne de La), neveu du Pape, est envoyé auprès du roi de France pour le détourner de la protection qu’il a déclaré accorder au duc de Parme et au comte de La Mirandole, XXVIII, 401. Réponse qui lui est faite de la part du Roi, 402. Est envoyé avec les forces de l’Église pour assiéger La Mirandole ; comment il est forcé de se retirer, 405.

Cornelio (le seign.) se distingue à la défense de Sienne, XXI, 219.

Cornet (le capit.) est tué dans une escarmouche devant Cambray, XXXI, 222.

Cornille, bâtard de Bourgogne, se distigue à une joûte exécutée à Dijon, IX, 320. Déploie l’étendard de guerre ; assemble 100 lances, 366. Est nommé gouverneur de Luxembourg pour le duc de Bourgogne, 400. Est tué par un Gantois après avoir abattu plusieurs rebelles, X, 106.

Cornille, ministre de Nismes, vient voir P. de L’Estoile ; son zèle pour la réunion des deux communions, XLVIII, 134. Il fait un livre sur ce sujet, 137.