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La Fère, XXXV, 185. S’en excuse auprès du Roi ; essaie de détourner le roi de Navarre de prendre les armes, 186. Est mécontent des articles de la conférence de Fleix, 197. Assemble des forces dans le Poitou et la Saintonge ; assiége le Brouage, 214. Quitte ce siége pour aller faire celui du château d’Angers ; passe en Angleterre, 215. (Mém. de Bouillon.) — Son opinion contre les duels, XXXVII, 332. (J.-A. de Thou.) — Est pris par une garnison du duc de Savoie, et sauvé par un soldat ; honoré et bien reçu par le seigneur de Lesdiguières ; se rend à Nismes, XXXVIII, 221. (Mém. de Merle.) — Chasse le duc de Mercœur du Poitou ; assiége la ville de Brouage, passe dans l’Anjou, 269. Se sauve vers la Normandie ; passe en Angleterre, d’où il revient à La Rochelle, 270. Épouse à Taillebourg mademoiselle de La Trémouille, 299. (Mém. de Cayet.) — Revient de La Rochelle à Paris, malgré l’avis qu’on lui donne que le Roi veut le faire mourir, XLV, 82. Se retire en Allemagne ; triste état où il y est réduit, 102. Met la ville de Dijon à contribution, ainsi que la Chartreuse, 128. Refuse d’entrer à Bourges avec le duc d’Alençon, de peur d’y être tué, 137. Charge près de Saintes le régiment du capitaine Tiercelin, et éprouve une grande perte, 311. Meurt à S.-Jean-d’Angely empoisonné, selon le bruit commun, 357. (Mém. de L’Estoile.)

Condé (le prince de) épouse à Chantilly madem. de Montmorency, XLVIII, 257. Demande au Roi la permission de s’éloigner, laquelle lui est refusée, 267. Se retire à Valery, 283. Enlève lui-même sa femme, et la porte en croupe, 304. Se retire avec elle en Flandre, 343. Écrit au Roi pour lui exprimer le regret qu’il a d’avoir été obligé de quitter la France, et proteste de sa fidélité et de son dévouement, 349. Écrit à la princesse sa mère, après avoir appris la mort du Roi ; lui envoie deux lettres, l’une pour le jeune Roi, l’autre pour la Reine mère, XLIX, 50. Revient à Paris ; va à S.-Denis jeter de l’eau bénite au feu Roi, 86. Comment il est reçu au Louvre, 87. Va au coucher du jeune Roi, 88. Fait faire sentinelle et corps-de-garde en son logis ; causes de ses méfiances, 94. Son opinion sur l’autorité du Pape, 113. Se retire à Valery, sans prendre congé de la Reine, 163. Revient à la cour, 166. (Mém. de L’Estoile.) — Emmène sa femme en Picardie pour l’éloigner du Roi, qui en est amoureux, L, 15. Se retire avec elle en Flandre, 18. Envoie prier l’archiduc de le recevoir, ce qui lui est refusé ; se rend à Cologne, et fait partir la princesse pour Bruxelles, 20. Obtient ensuite de venir lui-même dans cette ville ; refuse de rentrer en France, 21. Y revient après la mort du Roi, sur un ordre de la Reine, 108. Comment il est reçu à Paris, 109. S’éloigne du parti de la Reine ; pourquoi, 227. Tient des assemblées secrètes ; prend congé du Roi et de la Reine, 228. On lui envoie pour le ramener deux députés, qu’il évite de recevoir ; se rend à Mézières, 232. Fait des levées d’hommes, publie un manifeste, 236. Demande le rappel du chevalier de Vendôme, 237. Traite avec les commissaires du Roi ; ses demandes, 241, Se rend à Ste.-Menehould, qui lui ouvre ses portes, 243. Traite de cet endroit avec la cour ; conditions du traité, 244. Obtient le gouvernement d’Amboise, 246. Essaie de faire nommer à Poitiers un maire à sa dévotion, 249. Se présente devant cette ville, qui lui refuse ses portes, 250. Reçoit froidement les assurances que lui fait faire la Reine de sa bonne volonté, 251. Le départ du Roi pour la Bretagne lui fait changer de langage ; il se retire du Poitou, 252. Renouvelle ses menées, et se met en état de recommencer la guerre, 265. Donne un ballet qui est dansé devant la Reine, 266. Remet le château d’Amboise aux mains du Roi, 268. Se retire à Clermont sans prendre congé du Roi, 284. Refuse d’accompagner