Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/166

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

armée, 230. Négociations entamées avec lui ; ses propositions, 231. Il se retire vers la Normandie, 233. Sa marche, 234. Il veut retourner à Paris, l’amiral l’en empêche, 235. Il se dirige vers Dreux ; prend Gallardon, 236. Est blessé, et remet son épée à M. d’Anville, à la bataille de Dreux, 246. Est conduit à M. de Guise, avec lequel il passe la nuit, 250. Est mené au château d’Ouzin, d’où il tente de se sauver, 254. Se rend utile au siége du Havre, 305. Échoue dans son projet d’enlever le Roi à Monceaux, 382. Se loge à Saint-Denis avec l’amiral, d’où ils font la guerre autour de Paris, 383. Demande au Roi l’éloignement des Guise, 394. Fait sortir son armée de Saint-Denis ; son ordre de bataille ; noms des capitaines qui la commandent, 396. Part de Noyers pour se rendre à La Rochelle, où les chefs protestans viennent le joindre, 430. Est blessé à la bataille de Jarnac, puis tué par Montesquiou, 446. (Mém. de Castelnau.) — Détails sur son entrée à Orléans, XXXIV, 46. (Mém. de Mergey.) — À la nouvelle du massacre de Vassy, il avertit les églises protestantes de France de se tenir sur leurs gardes, 122. Se retire à Meaux ; appelle auprès de lui l’amiral et d’Andelot ; dans quel dessein il quitte Meaux, 123. S’achemine vers S.-Cloud ; marche sur Orléans, où il entre, 124. Efforts du prince pour introduire dans Paris la religion nouvelle, 127. Obstacles qui se rencontrent dans ce dessein, 128. Le prince fit-il une faute de ne pas se rendre maître d’abord de la capitale, 129. Il va avec l’amiral à la conférence de Toury ; dispositions des troupes qui de part et d’autre sont présentes pendant cette conférence, 135. Lettre du prince à Catherine de Médicis après son retour à Orléans, 137. D’après le conseil de l’évêque de Valence, il offre à la Reine de sortir lui-même de France, comme un moyen d’y rétablir la paix, 140. Pourquoi cette offre n’a pas de suite, 143. Le prince tente de surprendre les catholiques ; comment l’entreprise échoue, 147. Bonne discipline de ses troupes pendant deux mois, 150. Premier désordre de ces troupes à la prise de Beaugency, 152. Le prince se met en marche pour Paris après avoir pris Étampes, 166. Fait d’inutiles tentatives sur les faubourgs de cette ville, 169. Se porte en Normandie, 171. Est fait prisonnier à la bataille de Dreux, 176. Traite de la paix avec le connétable, 184. Vient se loger à S.-Denis, 196. Ce qu’il se propose d’y faire, 198. Après la bataille de S.-Denis se retire vers Montereau, 203 ; puis en Lorraine, 205. Comment il pourvoit à la solde des reîtres, 208. Comment il pourvoit à l’entretien et au logement de l’armée protestante, 210. Ses dispositions pour attaquer Chartres, 214. Consent à la paix de Longjumeau, 218. Se retire à La Rochelle avec l’amiral pour éviter d’être enveloppé dans sa maison, 221. Se rend maître de plusieurs villes du Poitou et de la Saintonge, 228. S’approche de Lusignan, où se trouve aussi l’armée du duc d’Anjou, 231. Escarmouche entre les deux partis, 233. Est tué à Jarnac ; éloge de ce prince, 253. (Mém. de La Noue.) XLV, 65. Vers faits sur sa mort et sur celle de ses frères, 66. La veille de la bataille de Dreux, il fait un rêve prophétique dont il fait part à Théodore de Bèze, 67. (L’Estoile.)

Condé (Henri de Bourbon, prince de), paroît à l’armée de l’amiral de Coligny avec le prince de Navarre, XX, 136. Est forcé de changer de religion, 160. Est arrêté ; réussit à s’échapper, et prend la route d’Allemagne, 170. Rentre en France à la tête d’une armée de reîtres ; pénètre dans le Bourbonnais, 182. Nommé gouverneur de Picardie, il ne peut s’y faire recevoir, 183. Meurt à la fleur de l’âge à S.-Jean-d’Angely, 204. (Introd.) — Rassemble des troupes ; manque d’être enlevé dans un parlement, XXXIV, 76. (Mém. de Mergey.) — S’empare de