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127. Se retire en Lorraine, 128. Sa gaieté dans les plus grands périls, 129. Revient avec les secours que lui amène le duc Casimir ; essaie de s’emparer de Chartres ; est obligé de céder au vœu de ses troupes, qui veulent la paix, 130. Prévenu qu’il va être arrêté, il part pour La Rochelle avec l’amiral, 132. Est assassiné après la bataille de Jarnac, 133. Son éloge, 134. (Notice.) — Se met à la tête des mécontens, et s’appuie des ministres huguenots, XXIV, 261. Reste à la cour après le mauvais succès de la conjuration d’Amboise, 281. Feint ensuite d’aller en Picardie, et se retire en Béarn, 282. Entreprend avec le roi de Navarre, l’amiral de Châtillon et la Reine mère, de se rendre maître de Lyon ; pourquoi cette entreprise échoue, 288. Est mandé par le Roi pour venir se justifier, 289. Se rend à Orléans, où il est retenu prisonnier ; les États instruisent son procès ; sentence portée contre lui par le conseil des Guise, 291. La mort du Roi en empêche l’exécution. 292. Est élargi, et déclaré innocent, 315. Vient à Paris, appelle les huguenots pour l’aider à s’en rendre maître ; est contraint d’en sortir, 326. S’éloigne de la cour, réunit ses forces à Orléans, 327. Publie un manifeste contre les Guise et le connétable, 332. Se met sur la défensive en attendant les étrangers, et renvoie les mécontens faire la guerre près de chez eux, 364. Reçoit des renforts et marche sur Paris ; se décide à aller en Normandie, 376. Est fait prisonnier à la bataille de Dreux, 379. Devient lieutenant général du royaume après l’assassinat du duc de Guise, 396. Est tué à la bataille de Jarnac ; détails sur cette bataille, XXV, 42 et suiv. (Mém. de Tavannes.) — Défait les Impériaux dans une rencontre aux environs de Dourlens, XXXI, 209. (Comm. de Rabutin.) — Pourquoi il s’attire la haine des Guise, XXXIII, 55. Accusé d’être le chef de la conjuration d’Amboise, il donne en plein conseil un démenti sur cette accusation, 56. Averti que le Roi a le projet de l’arrêter prisonnier, il se retire en Béarn, 94. Écrit à tous ses amis pour les prier de ne pas l’abandonner, 97. Malgré les avis qu’on lui donne, il se rend à la cour, 109 ; puis à Orléans, où il est constitué prisonnier, 112. Refuse de répondre à la commission chargée de le juger ; en appelle à la cour des pairs, 115. Est condamné à mort par un conseil composé de chevaliers de l’ordre, de quelques pairs de France, et de plusieurs conseillers du conseil privé, 116. Incompétence des juges prouvée par les lois et usages du royaume, 117. Est remis en liberté à la mort de François II, 132. Obtient du nouveau roi Charles IX des lettres adressées au parlement pour être purgé du crime dont il étoit accusé, et un arrêt d’innocence, 133. Sort de Paris par ordre du Roi, se rend à Orléans ; y est élu chef des protestans ; écrit au connétable pour le prier de faire exécuter les édits rendus en leur faveur, 173. Envoie à la cour une protestation dans laquelle ceux de son parti déclarent les motifs qui leur font prendre les armes, 176. Se plaint à la Reine mère du massacre de Sens, 178. Témoigne son mécontentement des excès commis par ceux de son parti, 179. Est invité par le parlement à se remettre avec le Roi, 182. Fait une nouvelle déclaration remplie de doléances ; écrit à l’empereur Ferdinand, au duc de Savoie et au comte palatin pour les prier de s’interposer dans les affaires des catholiques et des protestans, 184. Dispositions de ces princes, 185. Est sommé par le Roi de poser les armes ; conditions qu’il propose, 190. Son entrevue avec la Reine mère à Beaugency, 193. Pourquoi elle devient inutile, 195. Reprend cette ville sur les troupes du Roi, 197. Fait publier une réponse à l’arrêt du parlement de Paris, par lequel il est excepté du nombre des huguenots que cette cour a déclarés rebelles, 226. Marche sur Paris avec son