Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/162

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cette mission, 351. Reçoit pour le Roi l’hommage de la commune de Gênes, 354. Revient auprès du Roi ; comment il en est traité, 355. Est envoyé en Savoie contre les seigneurs de Miolans et de Bresse, 370. Va à Grenoble recevoir le duc de Savoie, 371. Se rend auprès du duc de Lorraine ; accueil qu’il en reçoit, XIII, 7. Est envoyé en ambassade à Venise, 35. Description de cette ville ; quelques détails sur son gouvernement, 80. But de cette ambassade ; comment il se conduit avec la seigneurie de Venise ; politique des Vénitiens, 86. Instruit le Roi et le duc d’Orléans de la ligue qui se forme contre lui, 93. Est mandé au palais du doge, où il apprend quel est le but de cette ligue, 94. Fête à cette occasion, 96. Quitte Venise, 98. Va trouver le Roi à Sienne ; s’informe des intentions des Vénitiens et du duc de Milan, 104. Lui conseille de rendre leurs places aux Florentins, 105. Va parlementer seul avec les ennemis, 146. Est envoyé à Casal pour traiter de la paix, 164. Difficultés qu’il éprouve dans cette mission, 166. Détails sur les négociations qui ont lieu ; noms de ceux qui sont chargés de négocier de part et d’autre, 170. Après la paix conclue, Comines est envoyé à Venise pour la faire accepter, 181. Retourne vers le Roi avec le refus des Vénitiens, et chargé de propositions différentes, 182. Passe à Milan, où il est honorablement traité par le duc, 183. Difficultés qu’il éprouve de la part de ce prince pour l’exécution du traité de paix, 184. Fausse promesse qu’il reçoit en le quittant, 185. Arrive à Lyon auprès du Roi, auquel il rend compte de sa mission, 186. (Mém. de Comines.) — Est arrêté et mis dans une cage de fer, XIV, 165. Le parlement confisque le quart de ses biens, et le relègue pour dix ans dans une de ses terres, 179. (Tabl. du règ. de Ch. VIII.)

Commendon (le Cardinal), nonce du Pape en Pologne, prononce à la diète générale un discours en faveur de l’élection de l’archiduc Ernest, XXXVIII, 107 et 125.

Commercy (le damoiseau de) surprend les troupes bretonnes commandées par de Malestroit, Geoff. de Couvran, Geoff. Morillon, Alain Giron et P. d’Augy ; les bat, et en tue plusieurs, VIII, 505. (Hist. de Richem.) — Tient les places de Villy et de Chavaney pour le duc de Saxe contre la duchesse de Luxembourg, IX, 374. Se porte sur la tente de Philebert de Vaudrey, maître de l’artillerie du duc de Bourgogne ; y éprouve une forte résistance ; perd beaucoup de monde, et est obligé de s’enfuir, 383. (Mém. de La Marche.)

Comminge (M. de), commandant du fort Louis, essaie de ramener les Rochellois à l’obéissance qu’ils doivent au Roi ; est autorisé par le commandant de l’armée française à assister à une assemblée de la ville, où il renouvelle ses exhortations, LI, 43. Est fait capitaine au régiment des Gardes, 164.

Commolet, prédicateur de la Ligue, trépigne de joie en chaire sur la fausse nouvelle d’un secours entré dans Chartres, XLVI, 135. Prêche qu’il faut encore une fois emprisonner les politiques de la cour, 178 ; et contre les partisans du Béarnais, 326. Crie en chaire qu’il faut un Ahod, un Jéhu, fût-il huguenot, 338. Se rétracte de ce qu’il a dit en chaire en faveur du Béarnais, 365. Dit qu’il est Français, qu’il voudroit un bon roi français, mais qu’on n’aura qu’un roi étranger, vu la division qui règne entre les grands, 459. Prêche avec fureur contre les religieuses que les gentilshommes promènent tous les jours à Paris sous le bras, 536. Dit en chaire que si on lui donne l’assurance que le Roi maintiendra la religion catholique, il montrera qu’il n’est point Espagnol, 554. Recommande en chaire la personne du Roi, dont il fait l’éloge, XLVII, 43.

Comnène (le sieur Dragues de),