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Claude de France, fille de Louis XII et femme de François I, meurt à l’âge de 25 ans ; son éloge, XVII, 67.

Claudine, femme d’Antoine Piat, devenue folle de la misère qui règne à Paris, court les rues, chantant des psaumes et faisant les plus ardentes prières à Dieu ; crie après les moines et le légat ; revient à son bon sens un peu avant de mourir, XLVI, 111.

Clausel (Du) est envoyé en Espagne par le duc de Rohan pour en obtenir des secours qui lui sont promis, LI, 162.

Clavel (le capit.), chef de protestans, s’empare par surprise de Préaulx et de Saint-Jure, dont il pille les églises et tue ou blesse presque tous les habitans, XXXIV, 318.

Clavières, soldat de la compagnie du capitaine Balnez, est arrêté comme coupable d’intelligences avec l’Empereur, XXXII, 213.

Clayette (le capit.) surprend avec le chevalier Bayard le capitaine Mallevêche, disperse sa troupe et fait grand nombre de prisonniers, XV, 292.

Clemenceau, ministre protestant, publie un livre sur la question si on peut faire son salut en l’Église romaine, XLVIII, 339.

Clémengis (Nicolas de), docteur de l’université, fait au nom de cette compagnie des représentations au Roi pour qu’il prenne des mesures propres à faire cesser le schisme de l’Église, VI, 236.

Clément IV succède au pape Urbain IV ; s’assure que Charles d’Anjou accepte l’investiture du royaume de Sicile ; arrive en Italie déguisé en mendiant ; est couronné à Pérouse, II, 137. Délègue à Rome cinq cardinaux pour couronner Charles d’Anjou, 139. Conseille inutilement à ce prince de pardonner aux partisans de Mainfroy, 140. Blâme en vain les exécutions sanglantes qu’il ordonne, 143.

Clément VII, pape, traverse l’élection de Boniface IX, et prie le Roi de faire un armement en faveur de Louis d’Anjou, VI, 221. Reçoit le Roi à Avignon, et couronne Louis d’Anjou roi de Naples, 222. Sa mort n’éteint pas le schisme, 235. (Tabl. du règn. de Ch. VI.) — Dans quelle situation il se trouve à l’égard des rois de France et d’Angleterre, et de l’empereur Charles-Quint, XVII, 118. Comment il se conduit envers eux, 119. Conduit lui-même sa nièce en France ; vient à Marseille, où le mariage de Catherine de Médicis avec le jeune Henri est célébré, 120. Déclare dans un consistoire que le premier mariage de Henri VIII ne pouvoit être dissous, 121. (Introd.) — Après avoir fait un traité avec la maison des Colonne, il est tout-à-coup attaqué par le cardinal Colonne et le seign. Ascagne Colonne, XVIII, 22. Se retire au château S.-Ange, est contraint de capituler, 23. Averti que le duc de Bourbon marche sur Rome, ne fait rien pour défendre cette ville ; se retire au château S.-Ange, 27. Capitule avec le prince d’Orange, et reste prisonnier avec ceux de son parti dans ce château, 29. Se sauve au château d’Orviette, 52. Ses objections à la proposition faite par l’Empereur de convoquer un concile général, 157. Ses raisons pour procéder contre le roi d’Angleterre au sujet de la dissolution de son mariage, 178. Fait part en consistoire secret de la requête que lui a faite le roi de France de se réunir ensemble pour traiter des choses concernant la religion et la guerre contre les Turcs, 179. Désigne la ville de Nice pour lieu de l’entrevue ; pourquoi la ville de Marseille est préférée, 181. Prononce les censures contre le roi d’Angleterre à l’occasion de son mariage avec Anne de Boulen ; lettre du cardinal de Tournon sur l’embarras où se trouve le Pape, 182. Préparatifs pour l’entrevue annoncée, 187. Arrivée du Souverain Pontife à Marseille ; détails à ce sujet, 204. Son entrée dans cette ville, 206. Marie sa nièce duchesse d’Urbin avec le second fils du Roi, tient un consistoire, où il crée quatre