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Rompt plusieurs lances ; reçoit le prix des mains de deux princesses, 61. Son caractère ; ses exercices et passe-temps durant son enfance, 62. Jure d’accompagner son père pour le venger de ses sujets rebelles, 68. Commande avec son père l’arrière-garde à la bataille de Gavre, 144. Est blessé dans le combat, 149. Ses occupations pendant son séjour à Lille ; se fait une grande réputation dans les exercices militaires, 156. Prie le Dauphin de tenir sur les fonts de baptême sa fille Marie ; fêtes à l’occasion de ce baptême, 220. Se brouille avec les seigneurs de Croy ; à quelle occasion, 222 ; et avec son père, 223. Se retire à Termonde, 225. Rentre en grâce auprès du duc en cédant à sa volonté, 226. Revient à Bruxelles, 227. Accompagne Louis XI à Reims, à Paris, 229. Y célèbre des joûtes et des tournois ; se rend à Tours auprès du Roi, 230. Retourne en Flandre auprès de son père, 231. Se lie avec le comte de S.-Paul, le duc de Bretagne, le duc de Bourbon, contre Louis XI, 234. Commencement de la ligue dite du Bien public ; avertit son père de cette alliance ; lève des troupes de toutes parts, 235. Rencontre l’armée du Roi à Montlhéry ; livre combat, 236. Est en danger d’être pris ; est blessé, 237. Passe la nuit sur le champ de bataille, 238. Tient conseil le lendemain sur une pièce de bois abattue, 239. Se loge à Montlhéry, 240. Se joint avec le duc de Berri pour aller au devant du duc de Calabre ; est d’avis de retourner sur Paris, 243. Fait jeter un pont sur la Seine du côté de Conflans, 245. Se retire au pays de Liége après la paix ; puis revient à Bruxelles, où se continueront entre lui et le Roi les négociations relatives à son mariage avec Anne de Bourbon, 250. Fait le siége de Dinant, 257. Entre dans cette ville, qui est pillée et brûlée ; exemple de justice envers trois archers, 258. Arrive devant Liége ; y jette une telle épouvante que les habitans lui ouvrent leurs portes en demandant grâce, 260. Marche contre les Liégeois révoltés, 273. Leur livre bataille près de S.-Tron, dont ils s’étoient emparés, et les met en déroute, 274. Marche sur Liége ; s’en fait ouvrir les portes, 276. Envoie une grosse armée par mer au secours du roi d’Angleterre, 277. Vient à la tête de ses troupes devant Amiens ; plusieurs entreprises d’armes s’exécutent pendant le siége de cette ville ; noms des champions, 278. Trève conclue, 279. Son mariage avec Marguer. d’Yorck arrêté, 281. Se rend maître de Roye et de Néolle ; vient attaquer Beauvais, 282. Entre en Normandie, y prend plusieurs petites villes, 283. Revient devant Beauvais ; se retire à Peronne, 284. Forme un camp appelé le camp d’honneur ; présente en vain la bataille au Roi, 285. Tient à Peronne un parlement ; annonce à tous ses chevaliers que Louis XI lui a promis de l’accompagner pour délivrer le seign. d’Imbercourt et l’évêque de Liége, 286. Se présente devant Louis XI ; lui fait jurer la paix, et la jure avec lui ; tous deux marchent sur Liége, 287. Le duc livre assaut à cette ville ; s’en rend maître, 288. Fait faire justice des plus mutins ; accorde au Roi la liberté de se retirer dans son royaume, 289. Va au secours de l’archevêque de Cologne son cousin ; met le siége devant Nuitz, 290. Se rend maître d’une île voisine en comblant de terre un bras du Rhin, 291. Apaise un débat élevé entre les Anglais et les Italiens, 295. Détails sur le siége de Nuitz, 296. Le duc attaque le camp de l’Empereur, et y met le désordre, 297. Arrangement conclu entre lui et l’Empereur ; tous deux se retirent, 298. Fêtes à l’occasion de son mariage avec Marguer. d’Yorck, 299. Longs et curieux détails sur ces fêtes, 300. Joûtes qui eurent lieu, 317. Il joûte lui-même contre Adolphe de Clèves, 380. Tournoi ; noms des chevaliers qui le fournirent, 382. Le duc y paroît, et met fin aux jeux, 384. Fait