Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/116

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

journée, 277. Ses occupations et ses loisirs, 279. Son portrait physique, 280. Temps de l’année où il résidoit dans ses châteaux, 281. Ordre qui s’observoit dans sa marche lorsqu’il alloit à cheval, 282. Sage distribution des revenus de son royaume, 283. Comment ils étoient employés, 284. Ordre qu’il établit dans la maison de la Reine ; habits, joyaux et parure des princesses de sa maison, 285. Table et ameublement de la Reine ; par qui elle étoit servie ; lecture qui se faisoit pendant les repas, 286. Le Roi lui envoyoit tout ce qu’il jugeoit pouvoir lui plaire, et aimoit à s’entretenir souvent avec elle ; état des enfans de Charles ; soin qu’il prit pour l’éducation du Dauphin, 287. Choix de maîtres prudens et habiles ; nul prince ne fut plus instruit dans les lettres, 288. Exemples de son amour pour la justice, 289. Tint souvent lit de justice en son palais, 290. S’opposa aux combats judiciaires, 291. Exemples de sa clémence, surtout envers les rebelles, 293. Évita de charger d’impôts ses sujets, 295. Reprenoit doucement et ramenoit au bien ceux qui s’en écartoient par une vie déréglée, 296. Pardonna trois fois à son barbier qui l’avoit volé, 297. Sa douceur, sa libéralité envers ses officiers, 305. Sa décence dans ses habits et dans ses discours ; il l’exigeoit aussi dans les autres, 306. Sa compassion ; il ne permit jamais à un mari offensé de renfermer sa femme pour le reste de ses jours ; défendit à sa cour tout livre licencieux ; chassa un chevalier qui avoit parlé d’amour au Dauphin, 307. Sa sobriété dans le manger, 308. Son amour pour la vérité, 309. Exemple cité de sa fidélité à garder sa parole, 310. Sa charité envers les pauvres, les églises et les monastères ; fondations pieuses, 312. Sa dévotion ; dons qu’il fit à des églises, 316. Consulta des théologiens et des savans pour savoir si J.-C. pouvoit avoir laissé de son sang sur la terre, 317. Avoit le projet, s’il eût vécu plus longtemps, de faire couronner son fils et d’embrasser l’état ecclésiastique, 319. Sa discrétion dans ses largesses ; n’aima personne sans lui avoir reconnu quelque grande qualité, 321. Fut en son temps le seul digne d’être nommé vrai chevalier, 334. Eut les quatre vertus qui conviennent au chevalier, 337. Preuves historiques, 338. Pourquoi le Roi ne put faire lui-même la guerre en personne, 345. Ce qui le décida à faire Duguesclin connétable de France, 381. L’amour de la paix, la compassion pour le peuple l’engagèrent, quoique victorieux, à consentir à traiter de la paix avec le roi d’Angleterre, 402. Supériorité de ses forces sur celles de ses ennemis, 403. Noms des principaux barons qui étoient à la tête des troupes en différens endroits du royaume, 405. Autres barons qui se rendirent, eux et leurs places fortes, au roi Charles, 408. Le duc de Bourbon, les comtes d’Alençon et du Perche, le connétable et plusieurs autres, envoyés pour soumettre la Bretagne, 412. Règles sur la manière de combattre, 414. Comment le Roi recouvra le duché de Guyenne, 415. Comment on peut se rendre maître des places fortes, 416. Le duché de Bretagne soumis, et à ce sujet comment les châteaux peuvent être réduits, 417. Le duc de Bourgogne et le sire de Clisson, envoyés pour faire le siége de Calais, se rendent maîtres de plusieurs places ; comment des assiégés peuvent se défendre, 419. Le Roi garda toutes ses conquêtes ; aucune ne tenta de se soustraire à son obéissance, 422. Comment les forteresses se doivent garder et défendre contre les ennemis, 423. Flotte entretenue sur mer par le Roi ; dommages qu’elle causa aux vaisseaux anglais, 425. Comment les troupes de mer doivent être mieux armées que celles de terre, 426. Le roi Charles mérita le titre de vrai chevalier par son bonheur, son bon sens, sa diligence et sa force, 428. Fut vrai philosophe