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femme, lui reconnaissent des facultés égales en valeur, mais non pareilles à celles de l’homme, lui découvrent une foule de qualités afin que celles-ci excluent les autres qui, pour eux, sont l’apanage de l’homme, uniquement.

L’homme, qu’il exerce ou non sa souveraineté dans le ménage, se croit néanmoins toujours le maître, par droit naturel et légal ; c’est ce que la femme ne saurait perdre de vue pour avoir la clef de la conduite qu’elle doit tenir, soit pour complaire à son mari, soit pour le conquérir ou le vaincre.