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l’après-midi. Que de marivaudages entre Adrienne et Marcel B… avait vus cette clairière !…

Le soir, c’était autre chose.

Sur le seuil de la cabane éclairée par un rayon de lune ; la belle Marietta attendait, le poing sur la hanche… et le baiser que tous deux échangèrent ne me laissa aucun doute sur la façon dont Marcel B… employait l’heure de quart :

Le lendemain soir, sans prévenir Adrienne, j’usai de mille ruses pour la faire se trouver à la cabane avant l’Italienne et son compagnon.

Puis, ceux-ci s’étant rencontrés en chemin et arrivant ensemble ; je fis l’étonnée et recommandai le silence à mon amie, plus troublée, plus émue de l’aventure que je ne l’eusse voulu.

Mais ce qui la courrouça plus encore que la certitude des plaisirs que se permettait son soupirant fut de l’entendre réciter à la