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petite chose flasque, sans nom, au parfum disparu, remplacé par une âcre senteur de mort…

Et, péniblement, gardant entre ses doigts ce triste cadavre d’amour et de printemps, elle reprit sa route vers le logis solitaire où la guettait la torture d’imaginer, sans répit, le lendemain… et les lendemains de ce lendemain de cauchemar.